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Pirater les objets connectés devient simple comme un jeu d’enfant

Pirater les objets connectés devient simple comme un jeu d’enfant


Avec le logiciel AutoSploit, quelques mots-clés suffisent pour pirater en masse des systèmes accessibles par Internet. Le logiciel provoque une vive polémique parmi les chercheurs en sécurité.

Mauvaise nouvelle pour les utilisateurs d’objets connectés. Un hacker dénommé « VectorSEC » vient de créer un outil diabolique qui permet de pirater en masse ces appareils, et de façon totalement automatique. Baptisé « AutoSploit », ce logiciel combine en effet deux outils bien connus des chercheurs en sécurité : Shodan.io, un moteur de recherche qui permet de détecter des objets connectés vulnérables ; et Metasploit, une plateforme de piratage modulaire utilisée notamment pour faire des audits de sécurité.

L’utilisation d’AutoSploit est ultrasimple. Il suffit d’indiquer un mot-clé qui fasse référence à un système particulier (« IIS », « Apache », « Western Digital », etc.). Le logiciel va alors récupérer auprès de Shodan.io une liste d’appareils accessibles, puis sélectionner dans les modules de Metasploit une séries d’attaques permettant d’obtenir un accès direct au système. Emballé c’est pesé...[lire la suite]


 

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Un malware contamine des smartphones via Facebook Messenger

Un malware contamine des smartphones via Facebook Messenger


Un logiciel malveillant a fait son apparition sur l’application de messagerie de Facebook, celui-ci créerait secrètement une monnaie-virtuelle.

Des chercheurs de la firme de cybersécurité de Trend Micro ont découvert un malware capable de miner de la crypto-monnaie, Monero. Ce virus a d’abord été observé en Corée du Sud, il agirait secrètement depuis Facebook Messenger. Nommé Digmine, ce logiciel ciblerait un maximum d’utilisateurs afin de récolter le plus de Monero possible.

Dans les faits, le malware se présenterait sous la forme d’une vidéo envoyée sur une conversation Messenger et ne serait dangereuse que si l’utilisateur l’ouvre à partir de Google Chrome. Pas de problème si on l’ouvre depuis une autre plateforme – autre navigateur ou depuis un smartphone -, même s’il existe toujours un potentiel risque que les pirates prennent le contrôle du compte Facebook de leur victime.

Crédit : Trend Micro

Crédit : Trend Micro

La présence de Digmine sur une machine pourrait également ralentir celle-ci ou tenter de se propager en contaminant les contacts de l’utilisateur. En effet, les chercheurs de Trend Micro ont affirmé que “Si le compte Facebook de l’utilisateur est configuré pour se connecter automatiquement, Digmine manipulera Facebook Messenger afin d’envoyer un lien vers le fichier aux amis du compte”…[lire la suite]


 

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Source : Un malware contamine des smartphones via Facebook Messenger | geeko




25% des cyberattaques cibleront les objets connectés en 2020

Cyberisques News - Cybersécurité : 25 Prévisions utiles pour 2018

25% des cyberattaques cibleront les objets connectés en 2020


L’IoT présente des problématiques de sécurité particulièrement épineuses. La majorité des objets connectés ont fait l’impasse sur la sécurité, avec des options de configuration minimales, voire inexistantes sur le sujet, et une absence de protocoles d’authentification ou d’autorisation. La majorité des objets connectés ne dispose pas d’interface qui permet aux outils de sécurité de s’y installer, ce qui rend quasi-impossible le patching et les mises à jour. Dans ce contexte, il n’est guère étonnant que les experts s’attendent à ce que 25% des cyberattaques ciblent l’Internet des Objets en 2020.

 

 

L’expansion des réseaux IoT (objets connectés) instaure de nouvelles menaces pour la sécurité avec environ 22,5 milliards d’appareils connectés prévus d’ici 2021, selon un rapport de Business Insider. La sécurité représentera donc un défi de taille, mais les gros volumes de données engendrés par l’IoT pourraient en réalité aider les chercheurs à repérer les failles de sécurité. Encore faudrait il que les entreprises déclenchent enfin une cartographie rigoureuse de leur patrimoine informationnel. Selon une nouvelle étude de CyberArk, près de deux tiers des organisations françaises (62 %) ayant été victime d’une cyberattaque n’ont pas avoué à leurs clients que leurs données personnelles avaient été compromises.  Avec l’entrée en vigueur du Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) en mai 2018, les entreprises qui n’agiront pas pour être plus transparentes s’exposeront à d’importantes sanctions.La mise en place du RGPD / GDPR en mai 2018 les incite « fortement »…[lire la suite]


 

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Alerte : une faille de sécurité critique découverte dans Thunderbird

Alerte : une faille de sécurité critique découverte dans Thunderbird


La fondation Mozilla invite ses utilisateurs à migrer au plus vite vers la nouvelle mise à jour de son fameux logiciel de messagerie Thunderbird. Outre quelques améliorations, celle-ci colmate plusieurs failles de sécurité, dont une jugée critique.

Mozilla a publié le 22 décembre dernier sur son site un rapport détaillant les différentes vulnérabilités découvertes dans la précédente version de Thunderbird 52.5.1. L’une d’entre elles, jugée critique par la fondation, est une vulnérabilité de débordement de tampon affectant uniquement les utilisateurs de Windows. « Un débordement de tampon se produit lors du dessin et de la validation d’éléments lors de l’utilisation de Direct 3D 9 avec la bibliothèque graphique« , a déclaré Mozilla dans son avis de sécurité. « Cela est dû à une valeur incorrecte transmise dans la bibliothèque lors des vérifications et entraîne un plantage potentiellement exploitable ». Deux autres failles de sécurité classées « élevées » ont été également corrigées, dont une qui affectait les capacités du lecteur RSS de Thunderbird. La seconde pourrait potentiellement permettre à un attaquant de découvrir des données utilisateurs telles que ses identifiants. La nouvelle mise à jour 52.5.2 comprenant les correctifs peut être téléchargée directement sur le site de Mozilla[lire la suite]


 

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Source : Thunderbird : une faille de sécurité critique découverte




Cadeaux de noël : Comprendre les risques liés aux objets connectés, c’est déjà commencer à se protéger

Cadeaux de noël : Comprendre les risques liés aux objets connectés, c’est déjà commencer à se protéger


Les années passent et les scandales de sécurité et de vie privée se succèdent à un rythme qui ne semble pas réduire. L’un des secteurs des technologies de l’information semble concentrer la plupart des problèmes : les objets connectés

Récemment, la CNIL a pointé du doigt des jouets connectés a priori inoffensifs. Le problème ? Ces poupées, équipées de caméra, d’un micro et d’un haut-parleur constituent un cheval de Troie idéal pour n’importe quelle personne malveillante. Ok, mais ont-elles été l’objet d’un piratage ? Pas encore mais un produit similaire s’est récemment fait pirater causant la publication d’un peu plus de 2 millions de messages intimes sur Internet.

Avant de céder à la panique et de déménager dans un joli mais vieux corps de ferme dans le Vercors, quelques ajustements semblent nécessaires…[lire la suite]


 

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Source : Comprendre les risques liés aux objets connectés, c’est déjà commencer à se protéger – Tech – Numerama




Un inquiétant malware cible les objets connectés de la planète

Un inquiétant malware cible les objets connectés de la planète


Un nouveau malware Botnet « Reaper » a été identifié par les spécialistes en cybersécurité. Ce logiciel malveillant cible particulièrement les appareils connectés et cherche à nuire à l’ensemble des réseaux de dispositifs IdO en usant de la technique du déni de se

Toute la planète est concernée par cette menace

Les experts de la cybersécurité estiment que ce malware a déjà attaqué environ 1 million d’appareils jusqu’à présent et poursuit sa propagation sans aucun problème. Du fait que ce logiciel malveillant n’a été repéré que récemment, il est encore difficile pour le moment de trouver la solution la plus efficace pour le détourner rapidement. De plus, les spécialistes qui l’ont découvert soulignent que l’objectif exact des hackers reste toujours inconnu. Ils se penchent encore sur les vraies intentions de ces malfaiteurs.

 

 

La solution pour se protéger de Reaper

La solution la plus pratique et la plus rapide proposée par les experts pour le moment est de changer les mots de passe de chaque dispositif reliés à Internet. Les appareils comme les caméras connectées ou les routeurs sans fil sont également exposés au risque d’infiltration. Ce procédé prend sans doute plus de temps. Néanmoins, les manuels fournis par la marque donnent généralement des instructions précises à ce sujet…[lire la suite]


 

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Source : « Reaper » : nouveau malware ciblant les objets connectés – @Sekurigi




HTTPS ou le cadenas du navigateur ne veulent pas dire que le site est fiable !

HTTPS ou le cadenas  du navigateur ne veulent pas dire que le site est fiable !


Depuis plusieurs années j’entends des « professionnels » de l’informatique recommander à leur client de bien vérifier la présence d’un cadenas ou d’une adresse qui commence par « https » lorsqu’ils échangent des données sensibles (mots de passe, numéros de CB…). Sans autre conseil, selon Denis JACOPINI, cette recommandation ne vaut rien.

 

 

Le Net Expert : Qu’indiquent le Cadenas ou le S de httpS ?

Denis JACOPINI : Le protocole HTTPS (HyperText Transfer Protocol Secure) est la combinaison du HTTP avec un protocole de chiffrement tel que le TLS ou le SSL. Il est particulièrement utilisé sur le Web par les réseaux sociaux et dans les secteurs bancaires et de l’e-commerce pour sécuriser les pages sensibles (page d’authentification, mon compte, page de paiement).

 

 

 

Le Net Expert : Qu’apporte alors la sécurité du HTTPS ou du cadenas ?

D. J. : Lorsqu’on navigue sur un site dont l’URL (l’adresse internet) commence par  « HTTPS »  (par exemple https://www.lenetexpert.fr), ceci ne veut pas dire que le site internet est de confiance ou fiable. Cela signifie simplement que la communication entre votre ordinateur et le site Internet sera chiffrée (cryptée) afin qu’un espion ou un pirate connecté sur votre Wifi ou votre LAN avec des outils d’espionnage numérique (un sniffer ou un Main In The Middle) ne puisse « écouter » ou « capter » le contenu de l’échange. Ceci garanti la confidentialité des échanges entre votre ordinateur et le site Internet et seulement la confidentialité entre votre ordinateur et le site Internet, ni la confiance, ni autre chose.

Il n’y a aucun rapport entre la présence d’un https et la confiance que l’on peut accorder à un site Internet et d’ailleurs, il existe une multitude de moyens de créer une page web accessible via une URL ayant la sécurité https.

  • Hébergement gratuit en https
  • Hébergement payant créer un site internet sur un hébergement  gratuit
  • Ajouter un certificat SSL gratuit
  • Utiliser un dossier sous un domaine avec certificat

Ainsi, la présence d’un https ou d’un cadenas ne devrait pas être suffisant pour être un cyberacheteur confiant. D’autres éléments devraient être utilisés tels que l’existence d’avis sur le site Internet, l’absence de réponse à la recherche du « nom du site Internet » accolé au mot « arnaque » (sauf si c’est un site qui justement traite des arnaques !).

De plus, une recherche sur le nom de domaine à partir de « whois.com » devrait vous donner des indications sur l’ancienneté du nom de domaine, l’adresse du propriétaire du nom de domaine qui devrait coïncider avec le propriétaire de la boutique dans laquelle vous vous apprêtez à faire vos achats.

Enfin, une boutique en français affichant des conditions générales de ventes en français indiquant que le site internet est soumis à la loi française avec un numéro SIRET facilement vérifiable sur  « societe.com »et une rubrique destinée à la protection des données personnelles a de grandes chances de vous assurer une certaine tranquillité.

Tout comme dans le monde des boutiques physiques il existe des cybercommerçants sérieux et fiables mais si vous devez acheter un produit sur Internet et que vous le trouvez sur une boutique moins cher que partout ailleurs, posez-vous des questions. Privilégiez les boutiques de confiance dont le siège social est en France (vous protégeant ainsi par les lois françaises très protectrices des consommateurs). A moins de passer par un tiers de confiance, évitez d’acheter sur les boutiques internet situées dans des pays étrangers en dehors de l’Europe. En cas de litige, risque d’être difficile la contestation.

Certes avoir un cadenas sur votre navigateur et une adresse internet avec un https sont essentiels pour communiquer des informations confidentielles telles que des mots de passe ou des coordonnées de cartes bancaires mais la réputation de la boutique ou sa situation géographique sont des éléments tout aussi importants.

 

 

Les informations contenues dans nos publications sont destinées à vous sensibilisées et augmenter votre niveau de prudence et en aucun cas dans un but de vous inciter à les utiliser dans un but malveillant.

 


 

LE NET EXPERT

 

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Source : Denis JACOPINI




Cybermenaces : Quelques signaux d’alerte à connaître

Cybermenaces : Quelques signaux d’alerte à connaître


Un email, une pièce jointe… une infection informatique. Le scénario est désormais classique : qu’il s’agisse d’une PME ou d’une entreprise de plus grande taille, l’erreur humaine est à la base de 75% des problèmes de sécurité.

 

 

En quelques années, la cybermenace est passée du statut de vague thème de fiction à un celui de vrai sujet de préoccupation pour l’entreprise – exemples concrets à l’appui.  Il est indispensable que les collaborateurs soient formés à décrypter en amont les signaux d’alerte, d’autant qu’ils sont souvent les premiers vecteurs de propagation.

Un chiffre plutôt qu’un long discours : 80% (NDLR en approche des 90%) des infections arrivent par e-mail tandis que, le plus souvent, l’infection se déclenche par téléchargement d’une pièce jointe – le mode de diffusion de prédilection des rançongiciels.

 

Un e-mail malveillant a :

  1. Un expéditeur mystère
  2. Un objet très alarmiste
  3. Une pièce jointe inattendue
  4. Une demande inhabituelle
  5. Un site inconnu, soi-disant sécurisé
  6. Quand c’est trop beau pour être vrai

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Source : Cybermenaces : 6 signaux d’alerte à connaître




Envoyé spécial sur les Cyberattaques : les braqueurs de l’ombre – 14 décembre 2017 (France 2) 

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Envoyé spécial sur les Cyberattaques : les braqueurs de l’ombre – 14 décembre 2017 (France 2) 


Les hold-up 2.0 par des « rançongiciels », logiciels de rançon, se multiplient : en France, une entreprise sur deux aurait déjà été piratée de cette façon. Enquête du magazine « Envoyé spécial » sur un fléau invisible en pleine explosion.

 

 

Merci à Clément Le Goff et Guillaume Beaufils pour ce beau travail d’enquête. Tout est vrai, et encore, tout n’est pas dit. Quelles conséquences avec les objets connectés, bientôt principaux cadeaux de noël, les voitures connectées, et tous les outils informatiques ou algorithmiques dont leurs usages peuvent être détournés à des fins malveillantes.

 

Depuis plusieurs années, Denis JACOPINI essaie par le biais de conférences ou en participant à des émissions de radio ou de TV (D8, LCI, NRJ12, Sud Radio, Sputnik…) de sensibiliser la population à ces risques afin de les aider à anticiper et éviter le plus possible ces attaques en leur apprenant à se protéger des pirates informatiques.

Avec un tel reportage, j’espère que le plus grand nombre de personnes sera sensibilisé de manière à enrayer ce phénomène incoercible.

 

Seul petit bémol dans ce reportage. Beaucoup auront entendu et retenu les recommandations de la police qui sont qu’il ne faut pas payer la rançon lorsqu’un pirate prend vos données en otage.  Je compléterais par le fait qu’il ne faut pas payer si vous avez la possibilité d’utiliser des sauvegardes ou si les conséquences sont minimes. Par contre, si la vie d’une entreprise est en jeu et la seule chance restante (même infime) pour sauver l’entreprise est de payer la rançon, ne pas la payer risquerait bien de vous être reproché… à moins que ça soit, comme dans le reportage un coup de grâce accepté par désespoir.

Corriger le message afin de ne pas induire les entreprises en erreur me paraît indispensable.

 

 

 

 


 

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Les hold-up 2.0 par des « rançongiciels », logiciels de rançon, se multiplient : en France, une entreprise sur deux aurait déjà été piratée de cette façon. Enquête du magazine « Envoyé spécial » sur un fléau invisible en pleine explosion.

 

Depuis plusieurs années, Denis JACOPINI essaie par le biais de conférences ou en participant à des émissions de radio ou de TV (D8, LCI, NRJ12, Sud Radio, Sputnik) de sensibiliser la population à ces risques afin de les aider à anticiper et éviter ces attaques.

Merci à Clément Le Goff et Guillaume Beaufils

Avec un tel reportage, j’espère que

 

 


 

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Les infos bancaires de clients CDiscount piratées, 300.000 euros détournés

Les infos bancaires de clients CDiscount piratées, 300.000 euros détournés


Les plaintes s’accumulaient depuis juin pour atteindre un total de 491. Déposées par des clients du site de vente en ligne CDiscount, elles ont amené les enquêteurs sur la piste d’une bande de pirates basée dans la Drôme, a rapporté jeudi France Bleu. Sept personnes arrêtées. Mardi, dans la Drôme, la police a interpellé sept personnes, tous issus d’une même famille. L’opération, menée par une cinquante policiers, a eu lieu à Valence, à Bourg-Lès-Valence et à Loriol-sur-Drôme. Elles ont cependant été remises en liberté car l’enquête n’est pas terminée. Les enquêteurs veulent désormais savoir s’il existe d’autres pirates et si des détournements ont aussi eu lieu sur d’autres sites de ventes en ligne.

 

 

 

Les plaintes s’accumulaient depuis juin pour atteindre un total de 491. Déposées par des clients du site de vente en ligne CDiscount, elles ont amené les enquêteurs sur la piste d’une bande de pirates basée dans la Drôme, a rapporté jeudi France Bleu.

Sept personnes arrêtées. Mardi, dans la Drôme, la police a interpellé sept personnes, tous issus d’une même famille. L’opération, menée par une cinquante policiers, a eu lieu à Valence, à Bourg-Lès-Valence et à Loriol-sur-Drôme. Elles ont cependant été remises en liberté car l’enquête n’est pas terminée. Les enquêteurs veulent désormais savoir s’il existe d’autres pirates et si des détournements ont aussi eu lieu sur d’autres sites de ventes en ligne…[lire la suite]


 

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