1

Vous avez besoin de contacter INTERPOL ? Réponse de Denis JACOPINI Expert en Cybercriminalité et Protection des Données

Notre métier en RGPD et en CYBER : Auditer, Expertiser, Accompagner, Former et Informer
EXPERTISES VOTES ELECTRONIQUES : Expertise de systèmes de vote électronique et d'élections par Internet MISE EN CONFORMITÉ RGPD & CYBER : Accompagnement de votre établissement à la démarche de mise en conformité avec le RGPD et en CYBERSÉCURITÉ Expertise de systèmes de vote électronique - votes par Internet FORMATIONS & SEMINAIRES RGPD & CYBER ARNAQUES & PIRATAGES : Restez informé sur les techniques utilisées par les pirates informatiques

Contacter INTERPOL

Vous avez besoin de contacter INTERPOL ? Réponse de Denis JACOPINI Expert en Cybercriminalité et Protection des Données


De très nombreux internautes nous contactent pour nous demander soit comment contacter Interpol, soit pour savoir si la personne d’Interpol avec laquelle ils sont en contact existe bien. Réponses de Denis JACOPINI, Expert en Cybercriminalité et Protection des Données.

 

Interpol esrt une organisation internationale de police criminelle. Elle ne peut pas directement être contactée ou saisie par les victimes. De plus, sauf cas particuliers, Interpol ne rentre jamais en contact avec les victimes.

D’ailleurs, vous pouvez lire sur leur site Internet sur leur site Internet à l’adresse suivante : https://www.interpol.int/fr/Contacts/Contacter-INTERPOL
« Les activités criminelles doivent être signalées à votre police locale ou nationale. INTERPOL ne réalise aucune enquête ni arrestation, cela relève de la responsabilité de la police nationale. »

Ainsi, pour que leurs services soient saisis, VOUS DEVEZ OBLIGATOIREMENT DÉPOSER UNE PLAINTE auprès de votre Police locale ou  Gendarmerie selon les pays. En fonction des éléments constituant votre dossier, les services d’Interpol pourront peut-être se charger de traiter des éléments de votre dossier.

ATTENTION :
De nombreux escrocs se font passer pour Interpol en vous promettant de récupérer votre argent ou pire, pour des victimes ayant récupéré leur argent grâce à une personne d’Interpol. CECI EST AUSSI UNE ARNAQUE

INTERPOL NE CONTACTE JAMAIS LES VICTIMES
C’est juste un moyen horrible d’escroquer encore plus une personne s’étant déjà faite escroquer.

 

Pour info, CYBERARNAQUES le livre !

https://livre.fnac.com/a11267131/Denis-Jacopini-Cyberarnaques

 

Quelques articles sélectionnés par notre Expert qui pourraient aussi vous intéresser :
Les 10 conseils pour ne pas se faire «hacker» pendant l’été
Les meilleurs conseils pour choisir vos mots de passe
Victime d'un piratage informatique, quelles sont les bonnes pratiques ?
Victime d’usurpation d’identité sur facebook, tweeter ? Portez plainte mais d’après quel article de loi ?
Attaques informatiques : comment les repérer ?

 

Quel est notre métier ?
Former et accompagner les organismes à se mettre en conformité avec la réglementation numérique (dont le RGPD) et à se protéger des pirates informatiques.

 

Quel sont nos principales activités ?

 

 

 

Denis JACOPINI DPO n°15945  Denis JACOPINI formateur n°93 84 03041 84 Denis JACOPINI validé et référencé datadock
Notre Expert, Denis JACOPINI, est Expert en Informatique assermenté, spécialisé en Cybercriminalité, Recherche de preuves et en Protection des données personnelles. Diplômé en Cybercriminalité (Droit, Sécurité de l’information & Informatique légale), en Droit de l'Expertise Judiciaire et certifié en gestion des risques en Sécurité des Systèmes d'Information (ISO 27005), Denis JACOPINI est aussi formateur inscrit auprès de la DDRTEFP (Numéro formateur n°93 84 03041 84).

« Mon métier consiste à mettre à votre disposition l'expérience que j'ai acquise pendant des dizaines d'années et les connaissances que je maintiens continuellement à jour par des formations, certification et diplômes permanentes car le savoir c'est comme une mise en conformité, c'est une démarche quotidienne qui permet une amélioration sur le long terme.
Denis JACOPINI
 »

 

 

Besoin d'un Expert ? contactez-nous
 




 

 

Source : Contacter INTERPOL




Le CMRPI lance une campagne de sensibilisation à la Cybercriminalité

Le CMRPI lance une campagne de sensibilisation à la Cybercriminalité


Le Maroc lance une campagne de sensibilisation à la lutte contre la cybercriminalité.
Quels défis que le Maroc doit-il relever pour lutter contre la cybercriminalité ?
Quelles sont les réalisations déjà accomplies ?

Réponses avec Youssef BENTALEB (Président du CMRPI : Centre Marocain de Recherche Polytechnique et d’Innovation).

 

 


Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel.

Par des actions d’expertises, d’audits, de formations et de sensibilisation dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84)

Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-cybercriminalite-protection-des-donnees-personnelles


 

Réagissez à cet article




« AITEX – AFRICA IT EXPO » : le Sénégal et la Côte d’Ivoire à l’honneur au Maroc, du 21 au 24 septembre 2016

« AITEX – AFRICA IT EXPO » : le Sénégal et la Côte d’Ivoire à l’honneur au Maroc, du 21 au 24 septembre 2016


Le Sénégal et la Côte d’Ivoire, qui compte parmi les pays d’Afrique subsaharienne à avoir engagé des projets de gouvernance électronique, seront à l’honneur au Maroc lors de la première édition du Salon de l’innovation et de la transformation digitale en Afrique, « AITEX – AFRICA IT EXPO », qui aura lieu du 21 au 24 septembre 2016 à Casablanca.

 

 

Dans un communiqué transmis à notre Rédaction, la Fédération marocaine des technologies de l’information, des télécommunications et de l’Offshoring (APEBI), chef d’orchestre de l’AFRICA IT EXPO, explique le choix du Sénégal et de la Côte d’Ivoire par le souci d’établir une connexion sud-sud des ressources du continent. Un défi majeur que le Royaume chérifien veut relever en commençant par ces deux pays qui sont la locomotive économique de la sous-région ouest-africaine. La Côte d’Ivoire connaît une forte croissance économique qui se situe entre 7 et 8 % par an. Une performance portée en partie par un secteur privé qui fait de la transformation numérique, un vecteur de compétitivité. Le Sénégal, deuxième économie de l’Afrique de l’Ouest francophone derrière la Côte d’Ivoire, est plébiscitée pour les efforts fournis dans le domaine du digital. Là où l’Afrique a atteint un taux de pénétration moyen autour de 100%, le Sénégal lui signe un taux de 113,66% en mars 2016. En choisissant ces deux pays, le Maroc veut leur apporter son « soutien pour conforter leur leadership régional et aussi pour accélérer leur transformation numérique ».

 

 

Le communiqué :

« Salon des Technologies de l’Information  « AITEX – AFRICA IT EXPO » – 21 – 24 septembre 2016 à Casablanca

Le 1er salon de l’innovation et de la transformation digitale du continent met à l’honneur le Sénégal et la Côte d’Ivoire

La Fédération marocaine des technologies, de l’information, des télécommunications et de l’Offshoring (APEBI) organise la 1ère édition du Salon des Technologies de l’Information  « AITEX – AFRICA IT EXPO », qui aura lieu du 21 au 24 septembre 2016 à la foire internationale de Casablanca. « AITEX – AFRICA IT EXPO » est la première plateforme de l’innovation et de la transformation digitale en Afrique, qui va réunir 150 exposants – tous issus des entreprises référencées dans le domaine -,  200 donneurs d’ordre, mais aussi des experts et des utilisateurs venus d’Afrique, du Moyen Orient et d’Europe. Pour cette édition, l’APEBI met à l’honneur le Sénégal et la Côte d’Ivoire, deux pays amis avec lesquels le Royaume entretient des relations de longue date, qui constituent un modèle de coopération exemplaire, et qui jouent par ailleurs un rôle de locomotive en Afrique de l’Ouest dans le domaine des TIC.

 

 

Aujourd’hui, la transformation digitale est devenue un enjeu majeur pour les sociétés, une mutation indispensable pour les entreprises et l’économie. A l’ère du numérique, cette transformation constitue un avantage fort pour nos sociétés, qui crée de la valeur… L’évolution très rapide des TIC -Technologies de l’Information et de la Communication- a profondément façonné le changement de nos modes de vie. Face à la généralisation des TIC dans les pays industrialisés, l’intégration de ces compétences (mais surtout leur maîtrise et leur exploitation) est un enjeu stratégique, sociétal, culturel et technologique en Afrique.

Le continent,  qui poursuit son processus de mondialisation et sa dynamique d’émergence doit se « mettre à niveau » pour améliorer l’efficience de son économie  et « booster » sa compétitivité locale et internationale. Grâce à une approche bien encadrée, qui va intégrer tous les paramètres, les enjeux et aussi les risques induits, la transformation digitale est sans conteste un levier de croissance économique et de compétitivité, créateur de valeur ajoutée.

La Fédération marocaine des technologies, de l’information, des télécommunications et de l’Offshoring (APEBI), est un acteur régional stratégique en Afrique car elle regroupe des entreprises qui jouent un rôle clé dans l’économie et qui sont des références dans leur domaine.

Pendant trois jours, l’APEBI va être le catalyseur d’une dynamique nouvelle, qui va accélérer le développement du numérique dans le continent.

 

 

AITEX – AFRICA IT EXPO : Première plateforme de l’innovation et de la transformation digitale d’Afrique

Cette édition sera marquée par une forte présence d’experts de haut niveau, des opérateurs nationaux et internationaux reconnus, tous réunis autour d’un programme ambitieux qui a pour vocation d’être la première plateforme de l’innovation et de la transformation digitale en Afrique.

Organisé avec le soutien institutionnel de Maroc Export, le salon « AITEX – AFRICA IT EXPO » va accueillir principalement des distributeurs, des fournisseurs de technologie, des intégrateurs de solutions, éditeurs, opérateurs télécoms, ISP, ASP, délocalisation de fonctions de gestion, TMA, help desk conseil, offshoring, mobility, big data, Cloud, réseaux, e-Commerce… Vitrine de l’offre numérique et des dernières évolutions digitales, « AITEX – AFRICA IT EXPO » est une plateforme unique de rencontres, d’échanges et d’opportunités d’affaires.

Véritable révélateur des nouvelles tendances, le Salon «AITEX – AFRICA IT EXPO » est une occasion unique de rencontrer et d’échanger sur les problématiques quotidiennes des entrepreneurs, collectivités et de trouver les réponses appropriées grâce au concours de spécialistes, eux-mêmes engagés dans les processus de développement des économies émergentes et de la coopération sud-sud.

Placé sous le thème, «Transformation Digitale : Levier de développement en Afrique», le salon offre une nouvelle occasion de conscientiser et sensibiliser nos sociétés sur la formidable opportunité offerte par les technologies numériques pour accélérer le développement du continent. Des rencontres sont organisées au cours de ces trois journées pour débattre des problématiques actuelles et  des enjeux sociétaux de ces mutations afin d’adopter les meilleures pratiques et ainsi anticiper les défis auxquels les entreprises et économies africaines sont  confrontées.

«AITEX – AFRICA IT EXPO » va promouvoir les relations d’affaires et la mise en réseau des différents acteurs économiques du continent, à travers des coopérations sud-sud, nord-sud et public-privé.

 

 

Le Sénégal  et la Côte d’Ivoire à l’honneur

Le défi numérique en Afrique passe inéluctablement par la connexion des ressources du continent. Un aspect que  l’APEBI a compris et intégré dans l’organisation de ce salon, c’est pourquoi la fédération a décidé de mettre à l’honneur, pour sa première édition, le Sénégal et la Côte d’Ivoire. Ces deux pays, représentant deux premières puissances économiques de l’Afrique de l’ouest francophone engagés dans une dynamique de croissance depuis plusieurs années, ont à cœur de poursuivent respectivement leurs ambitions numériques.

La Côte d’Ivoire connaît une forte croissance économique qui se situe entre 7 et 8 % par an et le développement du numérique est devenu un enjeu majeur, créateur de richesses. Le numérique constitue un potentiel énorme, présent dans tous les esprits, aussi bien du côté du gouvernement que des dirigeants d’entreprise. Selon une étude publiée par le cabinet Deloitte en mai 2016, seulement 36 % des entreprises estiment avoir atteint la maturité numérique.

Le Sénégal, quatrième économie de la sous-région ouest africaine après le Nigéria, la Côte d’Ivoire et le Ghana, et deuxième économie en Afrique de l’Ouest francophone derrière la Côte d’Ivoire s’est largement distingué dans l’évolution de l’économie numérique, premier levier de la transformation digitale.  Là où l’Afrique a atteint un taux de pénétration moyen autour de 100%, le Sénégal lui signe un taux de 113,66% en mars 2016.

Le Sénégal et la Côte d’Ivoire font partie des premiers pays africains à initier des projets de gouvernance électronique (e-Gouv). Ils ont réalisé au fil des années des progrès importants dans les domaines tels l’économie numérique, la monétique, le courrier hybride, ou encore le taux de connectivité internet, etc.) Néanmoins, les disparités qui existent entre les différents pays du continent peuvent être réduites si un effort de coopération est accompli.

En mettant en avant ces deux pays amis, qui constituent un modèle important d’exemplarité sur le continent africain (et en particulier de ses voisins ouest-africains), le Maroc apporte son soutien pour conforter leur leadership régional et aussi pour accélérer leur transformation numérique. »

Article original de Cio-Mag


 

Réagissez à cet article

Original de l’article mis en page : « AITEX – AFRICA IT EXPO » : le Sénégal et la Côte d’Ivoire à l’honneur au Maroc, du 21 au 24 septembre 2016 | CIO MAG




Le Maroc peut-il créer une Silicon Valley au Maghreb ?

Le Maroc peut-il créer une Silicon Valley au Maghreb ?


Le Maroc a-t-il les capacités de se transformer en « Silicon Valley » du Maghreb? Hamza Hraoui, conseiller en communication d’influence pour les entreprises et les dirigeants, estime que  »oui ».

Dans un entretien paru jeudi 7 juillet au HuffpostMaroc, cet expert estime que le Maroc a toutes les potentialités pour cet objectif, à condition de revoir le fonctionnement de l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT).  »Nous sommes en tout cas crédibles et légitimes pour être le spot technologique de la région », souligne t-il.  »Le taux de pénétration d’internet dépasse 56% chez nous alors qu’en Tunisie c’est 44%, en Algérie c’est moins de 20%. En plus d’avoir la population la plus connectée du Maghreb, le Maroc connaît également le plus fort dynamisme de ses médias en ligne. » En outre, le Maroc a pris de l’avance sur le plan des infrastructures de TIC, selon lui:  » quand l’Algérie a introduit la 3G qu’en 2013, nous avons aujourd’hui la couverture 4G la plus large du Maghreb. » Mais, tempère l’expert, le pays accuse déjà un retard dans ce domaine.

Le  »Hic » 

 »Au Maroc on est au point mort », affirme t-il, avant d’expliquer que  »si la stratégie industrielle (du Ministre de l’Industrie et de l’Economie numérique) a esquissé les grandes lignes de l’économie numérique du pays, la structuration des écosystèmes numériques tarde à venir », même si  »le potentiel est là. »  Pour Hamza Hraoui,  »il faut enclencher maintenant notre transformation et prendre le train de la nouvelle économie en misant sur notre tissu entrepreneurial. » Car  »les Marocains attendent un vrai plan du numérique, conquérant et volontariste qui permettra d’accompagner les projets structurants des entreprises sur les marchés, où le Maroc peut acquérir d’ici 3 à 5 ans, un leadership continental: fabrication additive comme les imprimantes 3D, les objets connectés, la réalité augmentée, les villes intelligentes, les écoles du numérique… » Pour cela, il faut que bien des barrières tombent, et que les opérateurs du secteur rattrapent le retard accusé par le Maroc dans le digital et l’économie numérique.

Faire sauter les barrières

Et, surtout, libérer le secteur des  »interdits » et des blocages. Il estime ainsi que la Maroc, en interdiction de la VoiP,  »donne un mauvais signal aux acteurs de la nouvelle économie suite à cette interdiction. »  »Et ses répercussions se feront sentir à moyen et à long terme », ajoute cet expert en communication, qui appelle l’ANRT à faire  »son update ». Plus direct, il accuse l’ANRT de cloisonner le secteur des TIC et empêcher l’économie numérique de se développer.  »A l’heure du décloisonnement de l’information, de l’explosion de la data et de l’émergence de l’économie collaborative, l’ANRT poussée et pressée par les opérateurs télécom, nous a montré qu’elle vit encore à l’âge de pierre en enlevant aux jeunes étudiants, aux chercheurs, aux start-upers qui créent de la richesse dans ce pays l’essence même du progrès: le droit à la mobilité. » Pour lui,  »cela nous montre à quel point nos institutions ont du mal à admettre que la relation public-autorité et l’ordre établi sont profondément bouleversés par le digital, obligeant les hommes politiques à revoir en profondeur leurs messages, décisions et façons de faire. » A fin décembre 2015, le Maroc comptait 13,89 millions d’abonnés à l’Internet fixe, soit un taux de pénétration de 41,1 %, alors que le parc de l’internet mobile compte 12,81 millions d’abonnés avec une progression de 69,58% par an.

Article original de Amin Fassi-Fihri


 

Réagissez à cet article

Original de l’article mis en page : TIC: Le Maroc peut créer une Silicon Valley au Maghreb, mais…(Expert) – Maghreb Emergent




Les notaires marocains sensibilisés à la protection des données personnelles

Les notaires marocains sensibilisés à la protection des données personnelles 


L’accent a été mis sur les dispositions de la loi 09-08, mais aussi sur le rôle et les missions de la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel.

 

Les notaires ont été invités le 23 mars dernier, à prendre part à un séminaire placé sous le thème «Le notaire, quel rôle en matière de protection des données personnelles ?».

La rencontre organisée par la Commission nationale de contrôle de la protection des données à caractère personnel (CNDP), en partenariat avec le Conseil national de l’ordre des notaires du Maroc (CNONM) avait pour but de mettre la lumière sur les dispositions de la loi 09-08 relative à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel, mais aussi sur le rôle et les missions de la CNDP.

Ainsi, les notaires ont eu l’occasion de mieux appréhender les enjeux liés à la protection des données personnelles dans l’exercice de leur mission. Le séminaire leur a aussi permis de situer leur rôle dans la consécration des droits des citoyens à la protection de la vie privée et des données personnelles, et de prendre connaissance des obligations légales en vigueur.

Les deux organisateurs soulignent, par ailleurs, que cette initiative «constitue également un premier pas vers une coopération plus étroite entre la CNDP et le Conseil national de l’ordre des notaires»… [Lire la suite]


 

Réagissez à cet article

Source : :: Le Matin :: Les notaires sensibilisés à la protection des données personnelles