Les guides des bonnes pratiques de l’Anssi en matière de sécurité informatique | Denis JACOPINI
Les guides des bonnes pratiques de l’Anssi en matière de sécurité informatique |
Les guides des bonnes pratiques de l’Anssi en matière de sécurité informatique |
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Les métiers de la cybersécurité en 2020 |
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![]() Phone security | Ervins Strauhmanis via Flickr CC License by |
Comment éviter de se faire avoir par des e-mails de phishing |
| Toujours, toujours être sur ses gardes.
Ça n’arrive qu’aux autres, à ceux qui ne font pas attention, qui n’y connaissent rien, qui font n’importe quoi sur internet. Jusqu’au jour où ça nous arrive à nous. Ça, c’est se faire avoir par du phishing (du hameçonnage, en français), cette technique qui consiste à vous envoyer un e-e-mail en se faisant passer pour quelqu’un dans le seul but de vous faire cliquer sur un lien, et vous faire rentrer identifiants et mots de passe dans une nouvelle page vous les demandant. À l’été 2014, on avait ainsi découvert que de nombreuses stars américaines s’étaient ainsi fait voler leur identifiant iCloud de cette façon, permettant aux pirates de collecter leurs photos privées, dont certaines ont ensuite fini par être partagées sur des forums. Même chose avec le piratage de l’adresse e-e-mail de John Podesta, l’ancien chef de campagne d’Hillary Clinton, lors de la dernière présidentielle américaine. Le phishing marche, souligne ainsi Wired, qui explique que 100.000 nouvelles attaques ont lieu chaque jour, et que quelques milliers réussissent. En septembre 2016, une étude allemande montrait qu’un étudiant interrogé sur deux pouvait se faire avoir par le message d’un inconnu. Alors pour éviter de se faire avoir, le magazine américain propose trois solutions.
Parce qu’au fond, le vrai e-maillon faible dans toutes ces histoires se trouve entre la chaise et le clavier.
Notre métier : Vous aider à vous protéger des pirates informatiques (attaques, arnaques, cryptovirus…) et vous assister dans vos démarches de mise en conformité avec la réglementation relative à la protection des données à caractère personnel. Par des actions d’expertises, d’audits, de formations et de sensibilisation dans toute la France et à l’étranger, nous répondons aux préoccupations des décideurs et des utilisateurs en matière de cybersécurité et de mise en conformité avec le règlement Européen relatif à la Protection des Données à caractère personnel (RGPD) en vous assistant dans la mise en place d’un Correspondant Informatique et Libertés (CIL) ou d’un Data Protection Officer (DPO) dans votre établissement.. (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84) Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-cybercriminalite-protection-des-donnees-personnelles
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Source : Comment éviter de se faire avoir par des e-mails de phishing | Slate.fr
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Votre responsabilité engagée en cas de piratage de vos données |
| Si vous vous faites pirater votre ordinateur ou votre téléphone, votre responsabilité pourrait bien être engagée vis-avis des données que ce support numérique renferme.
Imaginez que vous disposiez de différents appareils numériques informatiques renfermant une multitude de données, dont des données d’amis, de prospects, de clients, de fournisseurs (tout ce qu’il y a de plus normal), et tout à coup, à cause d’un Malware (Méchangiciel selon D. JACOPINI), un pirate informatique en prend possession de ces données, les utilise ou pire, les diffuse sur la toile. Que risquez-vous ?
En tant que particulier victime, pas grand chose, sauf s’il est prouvé que votre négligence est volontaire et l’intention de nuire retenue. Par contre, en tant que professionnel, en plus d’être victime du piratage (intrusion causée par une faille, un virus, un crypto virus, un bot, un spyware), et d’avoir à assumer les conséquences techniques d’un tel acte illicite pourtant pénalement sanctionné notamment au travers de la loi godfrain du 5 janvier 1988 (première loi française réprimant les actes de criminalité informatique et de piratage), vous risquez bien de vous prendre une seconde claque vis à vis de la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978.
En effet, Les entreprises, les sociétés, tous ceux exerçant une activité professionnelle réglementée ou non, les associations, les institutions, administrations et les collectivités, sont tenues de respecter la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978 et notamment la sécurité des données selon les termes de son Article n°34 :
De plus, les sanctions jusqu’alors limitées à 5 ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amendes vont à partir du 25 mai 2018, par la mise en application du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) être portées à 20 millions d’euros et 4% du chiffre d’affaire mondial.
Partons d’un cas concret. La société Cochamboptnalds voit son système informatique piraté. Des investigations sont menées et le pirate informatique arrêté. Vis à vis de la loi Godfrain du 5 janvier 1988, le voyou risque jusqu’à 2 ans de prison et 20 000 euros d’amende. Or ce dernier, après avoir découvert que la société Cochamboptnalds n’était pas en règle avec la CNIL la dénonce auprès de cette dernière. Le responsable de traitement, généralement le chef d’entreprise risquera, lui, 5 ans de prison et 300 000 euros d’amende, une peine bien supérieure à son voleur. Est-ce bien normal ? Non, mais pourtant c’est comme ça et ça peut être le cas de toutes les entreprises, administrations et administrations françaises en cas de piratage de leurs ordinateurs, téléphones, boites e-mail…
Autre cas concret Monsieur Roudoudou-Maxitout voit son téléphone portable mal protégé et exposé aux virus et aux pirates. Un jour il apprend par un ami que les contacts de son téléphone se sont fait pirater. Il se déplace à la Police ou à la Gendarmerie, dépose une plainte mais le voleur n’est jamais retrouvé. Qui est responsable de cette fuite d’informations ? La première chose à savoir, c’est si ce téléphone est professionnel ou personnel. S’il est professionnel, référez vous au cas contrés précédent. Si par contre le téléphone portable est personnel, vis à vis de la loi Informatique et Libertés, les particuliers ne sont pour l’instant pas concernés par l’obligation de sécurisation des données. Ainsi, si la faute volontaire du propriétaire de l’appareil n’est pas retenue, le seul responsable de cette fuite de données sera et restera l’auteur du piratage.
Denis JACOPINI est Expert Informatique et aussi formateur en Protection des données personnelles (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84). Nous pouvons vous animer des actions de sensibilisation ou de formation à la Protection des Données Personnelles, au risque informatique, à l’hygiène informatique et à la mise en conformité auprès de la CNIL. Nos actions peuvent aussi être personnalisées et organisées dans votre établissement. Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-en-cybercriminalite-et-en-protection-des-donnees-personnelles Denis JACOPINI
Original de l’article mis en page : Informatique et Libertés : suis-je concerné ? | CNIL |
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Les bons réflexes contre les attaques informatiques |
| 350 milliards d’euros par an : selon le McAfee Report on the Global Cost of Cybercrime publié en 2014, tel est le coût estimé des attaques informatiques à l’échelle mondiale.Depuis le début de l’année, les attaques se sont multipliées, notamment suite aux attentats de Charlie Hebdo, mettant plus que jamais en péril la sécurité des données des entreprises et des institutions. Un rapport publié le 16 février dernier par Kaspersky Lab a quant à lui révélé l’attaque d’une centaine de banques depuis 2013 par un gang organisé.
Afin d’appréhender au mieux ces offensives, il est important d’en comprendre les tenants et les aboutissants et d’avoir à l’esprit les réflexes qui permettent de s’en prémunir.
Des attaques aux motivations multiples De plus en plus de sites internet sont victimes d’attaques dites de « défiguration » perpétrées par des hacktivistes revendiquant des convictions religieuses, politiques ou encore contestataires. On trouve également certains attaquants qui agissent uniquement pour l’amusement, mais ces scénarios se font de plus en plus rares. En général, seule la page d’accueil du site est modifiée pour signifier leur passage et évoquer leurs revendications. On trouve également d’autres attaques qui, elles, sont plus furtives (ou en tout cas tentent de l’être) et consistent à voler des informations à des fins de rançonnage par exemple. Les vols de données bancaires (carte de crédit, numéros de comptes) permettent quant à eux du détournement d’argent, l’achat de services ou encore de matériels en ligne. Ces criminels, bien organisés, offrent des services de tout type à d’autres criminels : du kit d’infection, à l’envoi de spam massif, en passant par des serveurs de contrôle (c&c) pilotant des milliers de machines « zombies » permettant des attaques DDOS (Déni de service distribué). Tous n’ont pas le même niveau technique, certains ne sont d’ailleurs que des « presse-bouton », alors que d’autres ont la capacité de créer des virus, ou des programmes exploitant des failles de sécurité. Mais comment s’y prennent-ils ? Ces malfaiteurs utilisent une faille de sécurité dans un programme qui peut provenir d’une erreur de conception (un protocole mal sécurisé par exemple), de programmation ou d’implémentation (failles connues comme shellshock, heartbleed ou ghost), de configuration (oubli du mot de passe par défaut après une installation) ou encore d’une erreur d’utilisation par une personne utilisant un mot de passe trop faible par exemple. L’humain est donc au centre de cette problématique. Le plus souvent ces attaques débouchent sur du détournement d’argent ou la diffusion de données sur internet. Les conséquences financières pour les entreprises peuvent être considérables, sans compter l’impact que cela peut avoir sur l’image de l’entreprise victime d’un piratage. Dès lors, quels réflexes adopter face à ces diverses attaques et failles ?
Expert Informatique et formateur spécialisé en sécurité Informatique, en cybercriminalité et en déclarations à la CNIL, Denis JACOPINI et Le Net Expert sont en mesure de prendre en charge, en tant qu’intervenant de confiance, la sensibilisation ou la formation de vos salariés afin de leur enseigner les bonnes pratiques pour assurer une meilleure protection juridique du chef d’entreprise.
Adopter les bonnes pratiques pour limiter les risques Les attaques ne cessent de croître dans la mesure où l’enjeu financier pour les criminels est très important. Lorsque l’on sait que l’attaque par déni de service est accessible pour seulement 30 à 70 dollars la journée et qu’un spam ne revient qu’à 10 dollars par tranche d’1 million d’e-mails*, ce type de pratique n’est pas prêt de cesser. A ce premier enjeu s’ajoute le manque de vigilance dont font preuve les internautes. Le risque de s’infecter est en effet omniprésent : il suffit de cliquer sur un lien drainant un logiciel malveillant ou encore de partager un contenu infecté. Quand bien même le risque zéro n’existe pas, la grande majorité de ces attaques pourrait être bloquée, dès lors que l’on adopte les bonnes pratiques pour se protéger et protéger autrui. Le maître mot est l’anticipation et la capacité à réagir rapidement en cas d’intrusion, la mise en œuvre d’un pare-feu ou d’un anti-virus pour se protéger n’étant pas suffisante. Le processus organisationnel de sécurisation est en effet plus important que les outils de protection eux-mêmes (on a en général un rapport de 80-20). Pour ce faire, l’un des points majeurs est la gestion des mises à jour. Lorsqu’une faille tombe, celle-ci peut-être déjà exploitée plus ou moins massivement. S’en suit la douloureuse phase consistant à tester si le programme régresse ou non dans son fonctionnement avant une mise en production. Durant toute cette période, le programme est encore exposé à une potentielle exploitation de la faille. Cela sous-entend qu’il faut d’une part valider aussi vite que possible, et d’autre part essayer de se protéger temporairement avec des outils de type Firewall ou IPS. Il est aussi bon de rappeler que ces outils de protection sont aussi faillibles que les autres et qu’ils peuvent être contournés. Dans le cas où l’attaque a déjà eu lieu, sur un site web par exemple, la première chose à faire est de bloquer le site. Cette phase est primordiale dans la mesure où un site piraté peut renvoyer des logiciels malveillants aux internautes le consultant. La deuxième étape est de sauvegarder tous les journaux, les données et programmes du site ainsi que la base de données, avant de procéder à une analyse du système pour connaître l’origine de l’attaque. Cette analyse est primordiale pour une remise en production du site. Elle permet de connaître par quel moyen les attaquants sont entrés dans le système et ce qu’il faut mettre à jour. Le mieux est de revenir sur une version de sauvegarde dont on est sûr qu’elle n’a pas été affectée par la compromission et de la mettre à jour. Parallèlement, il est également vivement conseillé de porter plainte afin que ces attaques soient référencées par les autorités et que des mesures soient prises. S’il est crucial de prendre en compte la problématique de sécurité lors de la création d’un projet informatique, il est tout aussi indispensable d’en assurer la maintenance afin d’anticiper les attaques et de pouvoir les gérer efficacement, et ainsi minimiser leur impact sur l’activité de l’entreprise.
Expert Informatique et formateur spécialisé en sécurité Informatique, en cybercriminalité et en déclarations à la CNIL, Denis JACOPINI et Le Net Expert sont en mesure de prendre en charge, en tant qu’intervenant de confiance, la sensibilisation ou la formation de vos salariés afin de leur enseigner les bonnes pratiques pour assurer une meilleure protection juridique du chef d’entreprise. Après cette lecture, quel est votre avis ?
Source : http://www.journaldunet.com/solutions/expert/60082/attaques-informatiques—decryptage-du-phenomene-et-reflexes-a-adopter.shtml Par Sébastien Delcroix – NFrance
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Cybercriminalité – Retour sur les attaques informatiques en France et dans le monde qui ont fait la une
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Selon a commission européenne, la cybercriminalité englobe 3 catégories d’activité criminelles :
1) Les atteintes directes à des systèmes informatiques (ou Système de traitement automatisé de données, ou encore S.T.A.D.) en perturbant leur fonctionnement, tels que les attaques par déni de services (appelé aussi denial of service attack ou aussi DOS) destinées à faire tomber un serveur (comprenez rendre inaccessible ou mettre en panne un serveur) à distance.
2) Réaliser des actes illicites en utilisant les outils numériques (escroqueries, vols de données bancaires ou personnelles, espionnage industriel, atteinte à la propriété intellectuelle, sabotage, accès frauduleux, fraudes, usurpation d’identité, phishing, création de PC zombies, contamination d’autres postes informatiques ou d’autres serveurs…)
3) Modifier le contenu d’un espace numérique pour y déposer ou diffuser des contenus illicites (pédopornographie, racisme, xénophobie).
Les cyberdélinquants n’ont d’autre objectif que de gagner beaucoup d’argent. Virus, spams, et autres botnets drainent plusieurs centaines de millions de dollars chaque année à travers le monde.
Sans nous étaler sur les 144 milliards de courriers électroniques qui transitent dans le monde chaque jour dont 70% ne sont que du spam, les 10 millions de français victimes d’actes cybercriminels et 75% de ces actes de cybercriminalité qui sont de grande envergure (Norton 2013) qui concernent les 3,2 milliards d’internautes dans le monde en 2014 (dont la moitié pour l’Asie), vous trouverez ci-dessous, par ordre anté-chronologique, quelques principaux actes cybercriminels recensés par notre Expert, Denis JACOPINI.
Vous pouvez directement contacter Denis JACOPINI ici
30/09/2015 : Les sites Web du gouvernement thaïlandais attaqués
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12/09/2015 : Cyberattaque contre le site officiel de la Commission électorale centrale (CEC) de Russie
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05/08/2015 : La SNCB victime d’un piratage
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25/07/2015 : Le Pentagone visé par une cyber-attaque russe
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28/07/2015 : Les e-mails de hauts gradés de l’armée américaine piratés
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18/07/2015 : Piratage du site de rencontres adultères Ashley Madison
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06/07/2015 : Hacking Team, société d’espionnage informatoque hacké
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19/05/2015 : Un hacker a modifié en vol la puissance d’un réacteur
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14/05/2015 : Un ordinateur de Merkel touché par la cyberattaque contre le Bundestag
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14/05/2015 : Des hôtels suisses victimes d’un piratage informatique
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12/05/2015 : Kaspersky annonce être victime d’une Cyberattaque
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05/05/2015 : Arnaque aux faux virement : Vol de 15 millions d’euros à Intermarché
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29/04/2015 : Des pirates informatiques volent 5 millions de dollars à Ryanair
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10/04/2015 : Lufthansa victime d’une cyberattaque
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05/05/2015 : Les états -Unis (Office of Personnal Management) victime de piratage. Plus de 4 millions de données personnelles de personnels fédéraux piratées;
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09/04/2015 : Arte victime d’une attaque informatique
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08/04/2015 : La chaîne TV5 Monde victime d’un piratage de grande ampleur par des individus se réclamant du groupe Etat Islamique | Le Net Expert Informatique
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02/2015 : Thales aurait été la cible d’une cyberattaque
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02/01/2015 : Les données de deux millions d’abonnés du site de TF1 ont été piratées. Les hackers détiennent les RIB et autres informations sensibles de ces internautes.
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26/12/2014 : PlayStation et Xbox victimes d’une panne après une cyber-attaLes joueurs de Xbox (ci-dessus) et de Playstation ne peuvent actuellement plus connecter leur console aux services en ligne en raison d’un piratage.
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21/12/2014 : Des documents internes de Korea Hydro & Nuclear Power Co. (KHNP), notamment des plans de réacteurs nucléaires sud-coréens, ont été dérobés et publiés de nouveau vers 1h30 ce dimanche sur Internet, pour la quatrième fois depuis le 15 décembre.
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19/12/2014 : Le régulateur mondial d’internet, l’Icann, a annoncé que des pirates informatiques avaient réussi à pénétrer dans ses ordinateurs.
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18/12/2014 : Une usine métallurgique allemande a subi une cyberattaque qui a provoqué des dégâts matériels conséquents, a révélé jeudi la publication d’un rapport gouvernemental allemand, cité par le site ITworld.
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18/12/2014 : L’ICANN (Le régulateur mondial d’Internet) victime d’un piratage informatique
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21/10/2014 : Staples a annoncé mener une enquête concernant un possible piratage de cartes de paiement, le numéro deux mondial des articles de bureau allongeant ainsi potentiellement la liste des entreprises américaines visées par une cyber-attaque.
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14/10/2014 : Le service de stockage de documents a pris les devants et réinitialisé les comptes utilisant les informations volées. Il affirme ne pas avoir subi d’intrusion sur ses serveurs.
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02/10/2014 : JP Morgan Chase a indiqué que 76 millions de foyers et 7 millions de PME parmi ses clients avaient été piratés lors d’une attaque informatique dans le courant du mois d’août.
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08/09/2014 : Home Depot : finalement 56 millions de cartes bancaires piratées
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16/06/2014 : Payer une rançon ou voir les données de centaines de milliers de ses clients publiées sur Internet. C’est le choix auquel devait faire face jusqu’à lundi 16 juin au soir l’entreprise de livraisons de pizzas Domino’s Pizza.
21/05/2014 : Victime d’une attaque, eBay demande à ses utilisateurs de changer de mot de passe
Les vols de données se suivent et se ressemblent (Target, Orange…). Le spécialiste de l’e-commerce, eBay, vient de communiquer sur une attaque informatique qui aurait visé ses bases de données.
20/05/2014 : Malware BlackShades : 100 arrestations dont 29 en France
A l’origine de l’infection de plus de 500.000 ordinateurs, le logiciel espion BlackShades a donné lieu à une opération de police internationale. En France, 29 personnes ont été placées en garde à vue, en majorité des adolescents ayant avoué avoir exploité le malware.
15/04/2014 : Les deux premiers sites internet reconnaissant avoir subi une attaque liée à la Faille Heartbleed
Au Royaume Uni, le site parental Mumsnet a été attaqué via la vulnérabilité Heartbleed.
Au Canada, l’administration fiscale CRA a admit publiquement avoir été victimes de la faille de sécurité découverte dans l’outil de chiffrement OpenSSL. (900 numéros d’assurance sociale volés) .
12/02/2014 : Une attaque par déni de service (DDoS) a frappé de multiples serveurs aux Etats-Unis et en Europe en début de semaine. Il s’agit de l’attaque informatique de ce type la plus grande recensée à ce jour.
31/01/2014 : La messagerie de Yahoo! victime d’une attaque informatique massive
Des cybercriminels se sont introduits dans des comptes email, à la recherche de données personnelles. Les utilisateurs impactés sont invités à modifier leur mot de passe.
27/11/2013 : La chaîne américaine de grande distribution Target a été victime de pirates informatiques qui se sont procuré les coordonnées bancaires de plus de 40 millions de ses clients entre le 27 novembre et le 15 décembre. Ce piratage tombe mal en pleine période des fêtes et ses conséquences sont potentiellement désastreuses pour les clients ainsi que pour la marque.
28/04/2013 : L’auteur présumé de la cyberattaque contre Spamhaus arrêté
Un Néerlandais de 35 ans a été interpellé en Espagne. Il est soupçonné d‘être à l’origine d’une cyberattaque fin mars contre une entreprise basée en Suisse, Spamhaus, qui fournit aux messageries des listes permettant de bloquer les mails indésirables – les fameux spams.
15/02/2013 : Facebook a subi une attaque informatique « sophistiquée »
Le réseau social Facebook a annoncé avoir subi, le mois dernier, une attaque informatique « sophistiquée », qui n’aurait toutefois pas compromis les données de ses utilisateurs.
« Nous avons remédié au problème dans tous les appareils infectés, nous avons informé la police et commencé une vaste enquête qui se poursuit à ce jour », a ajouté le réseau.
02/02/2013 : Twitter touché par des attaques informatiques
Le réseau social Twitter a annoncé, vendredi 2 février, que certains de ses utilisateurs avaient été victimes d’attaques informatiques similaires à celles portées contre des sociétés et des médias américains.
28/12/2012 : Le groupe pétrolier d’Arabie Saoudite Aramco a révélé avoir fait l’objet d’une attaque informatique de grande ampleur au milieu du mois d’août. Ce sont ainsi 30.000 postes de travail de l’entreprise qui ont été infectés par un virus informatique, provenant de l’extérieur.
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21/08/2012 : Le nouveau virus Shamoon illustre une fois de plus la progression des attaques visant de ‘nouvelles’ cibles. Le virus Shamoon (ou Disttrack) semble écraser des fichiers dans les PC Windows, puis les ‘master boot records’. Il en résulte que ces fichiers ne peuvent être récupérés. Or le PC ne peut être redémarré sans qu’ils soient réinstallés.
Nous organisons régulièrement des actions de sensibilisation ou de formation au risque informatique, à l’hygiène informatique, à la cybercriminalité et à la mise en conformité auprès de la CNIL. Nos actions peuvent aussi être personnalisées et organisées dans votre établissement.
Besoin d’informations complémentaires ?
Denis JACOPINI
Tel : 06 19 71 79 12
formateur n°93 84 03041 84
29/05/2012 : Flame, le virus le plus puissant de l’histoire du cyber-espionnage ?
Découvert au Proche-Orient, ce malware circulerait depuis plus de cinq ans et viserait, comme Stuxnet, des entreprises sensibles et des sites académiques. Une nouvelle arme pour la cyber-guerre ?
27/04/2011 : Sony s’est fait pirater en mai 2011 12700 numéros de cartes de crédit non américaines issues d’une vieille base de données.
07/03/2011 : Bercy et plus précisément la direction du Trésor victime d’une vaste opération de piratage informatique
Au total, plus de cent cinquante ordinateurs du ministère ont été infiltrés et de nombreux documents piratés. La méthode des espions est classique : à partir d’une adresse e-mail piratée, le « hacker » prend le contrôle de l’ordinateur de sa cible grâce à un cheval de Troie, en l’occurrence une pièce jointe. Chacun de ses correspondants au sein de l’administration peut à son tour être infiltré.
Ingénierie sociale a encore frappé. Crédulité ou excès de confiance ?
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21/11/2010 : Quand le piratage informatique s’en prend au Nucléaire
Les experts sont maintenant convaincus que le virus Stuxnet a été conçu pour s’attaquer aux centrifugeuses de Natanz utilisées par Téhéran pour enrichir l’uranium.
Pour combattre cela, les états organisent 3 branches : Cyberdéfense (atteinte à la sécurité nationale), Cybersécurité (anticipation des risques numériques) et Cybercriminalité qui est la délinquance transposée dans le monde numérique.
Des organismes sont créés ou réorganisés et des hommes embauchés :
O.C.L.C.T.I.C. : Office Central de Lutte contre la Criminalité liée aux Technologies de l’Information et de la Communication
D.C.R.I. : Direction centrale du Renseignement intérieur qui depuis début Mai 2014 d’appelle :
D.G.S.I. : Direction Générale de la Sécurité Intérieure
Gendarmerie Nationale
A.N.S.S.I : Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (créé en juillet 2009)
Cyberdouanes
B.E.F.T.I. : Brigade d’enquête surles Fraudes aux Technologies de l’Information
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La webcam, est-ce une vraie menace pour les utilisateurs d’ordinateurs |
| Après Mark Zuckerberg et sa webcam masquée par du scotch, voilà que c’est le directeur du FBI, James Comey, qui admet avoir adopté le même réflexe.
Une webcam cachée pour s’éviter bien des ennuis A l’heure où les hackers multiplient les attaques contre les machines des entreprises et des particuliers, beaucoup se sont moqués de Mark Zuckerberg et de son bout de scotch sur la webcam et sur la prise jack, certains allant même jusqu’à le traiter de « parano ». Pourtant, il semblerait qu’il s’agisse d’un réflexe à prendre et ce pour tout le monde. En effet, un pirate talentueux peut assez simplement prendre le contrôle d’une webcam à distance et pousser ainsi l’utilisateur à télécharger un malware sur sa machine. Aussi, lors d’une interview, James Comey, le directeur du FBI, a défendu l’idée de masquer la webcam. Il a même précisé que ce devait être un réflexe de base en matière de sécurité. En prenant le contrôle de votre caméra, un pirate peut effectivement visionner vos saisies sur clavier et récupérer ainsi identifiants, mots de passe et coordonnées bancaires pour ne citer qu’eux…[lire la suite]
Conseils de Denis JACOPINI : Les personnes averties croient utiliser la méthode miracle pour protéger leur vie privée en masquant leur Webcam. Certes, je recommande toutefois de masquer votre Webcam car, même si, en l’absence de logiciel de sécurité adapté, le pirate peut la mettre en fonction sans que vous vous rendez compte de rien. Le pirate peut en effet voir votre tête en train de taper au clavier ou de jouer (ce qui en soit n’aura rien d’intéressant) mais selon l’orientation, voir le reste de la pièce lorsque vous vous éloignez de l’ordinateur. Mais avez-vous pensé à protéger votre microphone ? A l’instar des baby phones piratés, mettre en route à distance le microphone de votre ordinateur est tout aussi facile que de mettre en route votre Webcam et même mieux d’ailleurs, car à ma connaissance, il n’existe pas de logiciel de sécurité qui empêche l’accès au microphone. Certes tout le monde n’est pas Mark Zuckerberg, mais tout professionnel devrait en plus de couper son téléphone pendant les réunions, penser aussi à boucher le microphone de son appareil ou mieux, enficher une fiche Jack vide. [block id="24761" title="Pied de page HAUT"]
https://www.youtube.com/watch?v=lDw3kI7ra2s 06/04/2018 A l'occasion de la sortie de son livre "CYBERARNAQUES : S'informer pour mieux se protéger",Denis JACOPINI répond aux questions de Valérie BENHAÏM et ses 4 invités : 7 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2010 (Symantec) 13,8 Milions de victimes de la Cybercirminalité en 2016 (Symantec) 19,3 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2017 (Symantec) Plus ça va moins ça va ? Peut-on acheter sur Internet sans risque ? Si le site Internet est à l'étranger, il ne faut pas y aller ? Comment éviter de se faire arnaquer ? Comment on fait pour renifler une arnaque sur Internet ? Comment avoir un coup d'avance sur les pirates informatiques ? Quelle est l'arnaque qui revient le plus souvent ? Denis JACOPINI vous répond sur C8 avec Valérie BENHAÏM et ses invités. https://youtu.be/usg12zkRD9I?list=UUoHqj_HKcbzRuvIPdu3FktA 12/04/2018 Denis JACOPINI est invité sur Europe 1 à l'occasion de la sortie du livre "CYBERARNAQUES S'informer pour mieux se protéger"
Je me présente : Denis JACOPINI. Je suis l'auteur de ce livre coécrit avec Marie Nocenti, romancière. |
Original de l’article mis en page : La webcam, une vraie menace pour les utilisateurs d’ordinateurs
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Des solutions pour la sensibilisation et formation des salariés face à la Cybercriminalité |
| La sensibilisation et l’éducation des utilisateurs jouent un grand rôle dans la réduction des risques.
Il importe donc pour les entreprises d’encourager leurs collaborateurs à se comporter de manière cohérente, en respectant des processus et procédures communiqués clairement, dont la conception et la surveillance sont centralisées et qui couvrent la totalité des équipements en usage. Cela n’évitera peut-être pas toute tentative d’attaque mais renforcera certainement la sécurité de l’entreprise.
Nous organisons régulièrement des actions de sensibilisation ou de formation au risque informatique, à l’hygiène informatique, à la cybercriminalité et à la mise en conformité auprès de la CNIL. Nos actions peuvent aussi être personnalisées et organisées dans votre établissement. Denis JACOPINI
Denis JACOPINI est Expert Judiciaire en Informatique, consultant, formateur et chargé de cours.
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Source : Denis JACOPINI et http://www.globalsecuritymag.fr/Les-entreprises-revoient-leur,20150826,55304.html
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Ne relayez pas les spams, canulars, chaînes de lettres… |
| L’association Clusir Tahiti (Club de la Sécurité de l’Information Région Tahiti, une jeune association de professionnels du secteur) continue de détailler ses 12 commandements de la sécurité informatique dans nos colonnes. Après nous avoir appris comment choisir un bon mot de passe et comment sécuriser sa navigation sur le Web, l’association s’attaque au spam pour son troisième commandement.
Le piratage informatique ne fait pas uniquement appel à des techniques de hacking, il utilise aussi des manipulations qualifiées « d’ingénierie sociale », qui consistent à obtenir des informations confidentielles (identifiant ou mot de passe par exemple) en trompant les victimes. C’est pourquoi, en complément de votre antivirus, il est indispensable de faire preuve de sens critique lors de la lecture de certains messages non sollicités. Le spam est un courriel indésirable, aussi appelé « pourriel ». Ces messages proposent de tout : les services d’un marabout, des médicaments ou d’autres produits contrefaits, un prêt d’argent, voire des rencontres par Internet, etc. Ces techniques sont nées avec la technologie de l’email, mais elles prennent encore plus d’ampleur aujourd’hui sur les réseaux sociaux, les conseils restent pourtant les mêmes : pour tout message non sollicité et non professionnel dont vous ne connaissez pas l’expéditeur, il n’y a qu’une règle : détruisez le message et ne répondez surtout pas.
Certains spams sont plus dangereux que d’autres pour les lecteurs qui leur donnent suite, en voici quelques exemples : – Le SCAM Définition d’un scam : ”cyber-arnaque” ou ”cyber-escroquerie” généralement envoyée par courriel. Ces courriels vous sollicitent pour récupérer des sommes importantes « mais il faut d’abord que vous versiez telle somme sur ce compte pour vérifier votre identité / corrompre un officiel / payer la commission de celui qui vous apporte la ‘belle affaire’… » Ils peuvent aussi se présenter comme la nouvelle d’un gros gain à une loterie à laquelle vous n’avez jamais joué. En Polynésie, ce sont les offres de « prêts entre particuliers » par mail, sur Facebook et sur les forums qui sont utilisées de manière industrielle ces dernières années, faisant des centaines de victimes qui ne reverront jamais leur argent.
Le phishing ou hameçonnage Mais ces organismes vous fournissent un service et ont déjà toutes les informations qui leurs sont nécessaires sur vous. Donc ils ne vous demanderont jamais vos identifiants ou vos informations bancaires de cette façon. Méfiez-vous donc de ce qui semble être un message important mais qui n’est en réalité qu’une imitation.
Comme dans le cas du Chef Roani, des chaînes manipulent le lecteur en jouant sur les sentiments. Mais les transmettre va-t-il réellement résoudre le problème? Si vous voulez aider, il existe des pétitions en ligne (où l’on peut compter le nombre de soutiens à une cause), des sites sécurisés pour faire des dons… Mais ne faites surtout pas suivre une chaîne.
Parfois, les chaînes utilisent la superstition en prétendant que si on ne fait pas suivre, un cycle sera rompu et que des événements atroces se produiront. Ne vous laissez pas impressionner : aucun message n’a autant de pouvoir. Par contre, le non-respect des consignes de cyber-sécurité peut avoir des effets dramatiques.
Que faut-il faire ?
Si vous recevez un message vous indiquant que vous avez gagné ou que l’on a besoin de vous pour récupérer un héritage ou une grosse somme d’argent quelconque, détruisez ce message et faites savoir à votre entourage qu’ils doivent faire de même.
N’exécutez jamais des instructions qui vous sont données sur internet par quelqu’un dont vous ne pouvez vérifier l’identité. Il est possible d’usurper une identité, y compris celle d’un proche ou de quelqu’un représentant l’autorité. Ne donnez jamais de renseignements personnels ou bancaires, n’envoyez jamais d’image de vos pièces d’identité à un tiers qui vous en fait la demande dans un message.
Enfin, gardez à l’esprit que les cyber-escroquerie servent à financer des activités criminelles : si jamais vous êtes victime d’une escroquerie, allez porter plainte. Même si les pirates se trouvent dans un pays lointain, il faut que l’on connaisse le plus précisément possible les chiffres de la cybercriminalité pour mieux lutter contre elle.
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Source : http://www.tahiti-infos.com/Clusir-Ne-relayez-pas-les-spams-canulars-chaines-de-lettres_a121624.html
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Wi-Fi. Attention au piratage sur les vrais et faux réseaux gratuits |
| Ce sont les vacances mais nombre de touristes ne se séparent pas de leurs smartphones, tablettes ou ordinateurs portables. Et pour se connecter à l’internet, quoi de mieux qu’attraper un wi-fi gratuit. Une pratique qui peut se révéler très dangereuse. Des proies faciles pour les « sniffeurs » de données. Explications de Laurent Heslault, expert sécurité chez Symantec.
Vous êtes sur votre lieu de vacances et vous avez envie de vous connecter à l’internet. Pour consulter votre messagerie ou vos réseaux sociaux, envoyer des photos à vos proches, surfer sur le net ou consulter votre compte en banque ou faire une réservation. Solution la plus simple : se connecter à un réseau Wi-Fi gratuit. Dans votre hôtel, camping, à la terrasse d’un café ou d’un restaurant… Les accès gratuits pullulent et se généralisent. Expert en sécurité à Symantec, Laurent Heslault tire le signal d’alarme. « Rien de plus simple que de pirater les données qui transitent sur un réseau Wi-Fi gratuit » assure-t-il. « Par exemple, je m’installe à la terrasse d’un café et je crée un vrai faux point d’accès gratuit en empruntant le nom du café. Des gens vont s’y connecter et je n’ai plus qu’à récupérer toutes les données qui m’intéressent. Des mots de passe, des identifiants… » Des sniffeurs de donnéesIl exagère ? Non. « L’expérience a été faite à la terrasse d’un café. Nous avons installé un logiciel qui permet de sniffer tous les appareils qui se branchaient sur le Wi-Fi. Ensuite, des complices, qui se faisaient passer pour des magiciens, allaient voir les gens en disant que par magie, ils avaient réussi à changer le code de leur téléphone ou leur image sur Facebook. Ils étaient étonnés ! » Rien de magique mais des logiciels de piratage qui se trouvent facilement sur le net. Les données sur le Wi-Fi ne sont pas chiffrées« Les données qui transitent sur le Wi-Fi ne sont pas chiffrées. Sauf quand vous vous connectés à un site sécurisé avec le protocole HTTPS. Donc ce sont des données faciles à intercepter. » Danger sur les vrais faux points d’accès Wi-Fi mais aussi sur les vrais qui ne sont, dans la grande majorité des cas, pas chiffrés non plus. « Par contre pas de problème pour une connexion 3G ou 4G qui sont chiffrées. Mais pour économiser leur forfait, les gens préfèrent se connecter au Wi-Fi ». ConseilsAlors quels conseils ? « Ne jamais, sur un Wi-Fi public, entrer un mot de passe. D’autant que la plupart des internautes utilisent le même mot de passe pour tous leurs sites. » En clair, limiter les dégâts en ne consultant que des sites qui ne demandent aucune identification. Autre solution : protéger son smartphone ou sa tablette en y installent un logiciel qui va chiffrer toutes les données qui vont en sortir. Plusieurs types de logiciels existent dont le Wi-Fi Privacy de Norton qui est gratuit pendant 7 jours et peut s’installer sur des périphériques fonctionnant sous Ios et Androïd. Article original de Samuel NOHRA.
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Original de l’article mis en page : Wi-Fi. Attention au piratage sur les vrais et faux réseaux gratuits