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Comment sécuriser Firefox efficacement en quelques clics de souris ?

Comment sécuriser Firefox efficacement en quelques clics de souris ?


Vous utilisez Firefox est vous souhaitez que cet excellent navigateur soit encore plus sécurisé lors de vos surfs sur Internet ? Voici quelques astuces qui supprimerons la géolocalisation, le profilage de Google ou encore que vos données offline disparaissent du regard d’espions locaux.

 

C’est sur le blog des Télécoms que j’ai vu pointer l’information concernant le réglage de plusieurs paramètres de Firefox afin de rendre le navigateur de la fondation Mozilla encore plus sécurisé. L’idée de ce paramétrage, empêcher par exemple Google de vous suivre à la trace ou de bloquer la géolocalisation qui pourrait être particulièrement big brotherienne.

Commençons par du simple. Il suffit de taper dans la barre de navigation de votre Firefox la commande about:config. Une alerte s’affiche, pas d’inquiétude, mais lisez là quand même. recherchez ensuite la ligne security.tls.version. Les valeurs affichées doivent osciller entre 1 et 3. Ensuite, recherchez la ligne geo.enabled pour annuler la géolocalisation. Passez le « true » en « False ». Pour que les sites que vous visitiez ne connaisse pas la dernière page que vous avez pu visiter, cherchez la ligne network.http.sendRefererHeader et mettre la valeur 1. Elle est naturellement placée à 2. Passez à False la ligne browser.safebrowsing.malware.enabled.

Ici, il ne s’agit pas d’autoriser les malwares dans Firefox, mais d’empêcher Google de vous tracer en bloquant les requêtes vers les serveurs de Google. Pour que Google cesse de vous profiler, cherchez la ligne browser.safebrowsing.provider.google.lists et effacez la valeur proposée.

Pour finir, vos données peuvent être encore accessibles en « offlire », en mode hors connexion. Cherchez les lignes offline-apps.allow_by_default et offline-apps.quota.warn. La première valeur est à passer en Fasle, la seconde valeur en 0.

Il ne vous reste plus qu’à tester votre navigateur via le site de la CNIL ou celui de l’Electronic Frontier Foundation.

Article original de Damien Bancal




 

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Original de l’article mis en page : Sécuriser Firefox efficacement en quelques clics de souris – Data Security BreachData Security Breach




Victime d’une arnaque sur Internet ? Faites-nous part de votre témoignage

Arnaque jour de l'an

Victime d’une arnaque sur Internet  ? Faites-nous part de votre témoignage


Vous êtes victime d’une arnaque ou d’un piratage sur Internet ? Votre témoignage nous permettra peut-être de vous aider.

 

 

Devant une explosion de cas d’arnaques et de piratages par Internet et des pouvoirs publics débordés par ce phénomène, nous avons souhaité apporter notre pierre à l’édifice.

Vous souhaitez nous faire part de votre témoignage,  contactez-nous.

 

 

 

Vous devez nous communiquer les informations suivantes (tout message incomplet et correctement rédigé ne sera pas traité) :

 

  • une présentation de vous (qui vous êtes, ce que vous faites dans la vie et quel type d’utilisateur informatique vous êtes) ;
  • un déroulé chronologique et précis des faits (qui vous a contacté, comment et quand et les différents échanges qui se sont succédé, sans oublier l’ensemble des détails même s’ils vous semblent inutiles, date heure, prénom nom du ou des interlocuteurs, numéro, adresse e-mail, éventuellement numéros de téléphone ;
  • Ce que vous attendez comme aide (je souhaite que vous m’aidiez en faisant la chose suivante : ….)
  • Vos nom, prénom et coordonnées (ces informations resteront strictement confidentielles).

 

Contactez moi
Conservez précieusement toutes traces d’échanges avec l’auteur des actes malveillants. Ils me seront peut-être utiles.

 

 

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Compte Facebook piraté : Quelles sont les bons réflexes à avoir ? | Denis JACOPINI

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Compte Facebook piraté : Quelles sont les bons réflexes à avoir ?

Il arrive parfois de se faire pirater son compte Facebook. Soit parce qu’on a oublié de se déconnecter du site sur un ordinateur public, soit parce qu’on s’est fait voler d’une manière ou d’une autre son mot de passe. Il arrive aussi que des personnes se fassent passer pour vous et ouvrent un profil à votre nom avec vos informations et photos personnelles.

 

 

Dans ces cas de piratage ou d’usurpation d’identité, il importe de réagir rapidement pour empêcher toute possibilité de nuisance.

Première chose à faire : signaler le compte piraté ou usurpé à Facebook.

 

 

Si votre compte a été piraté

Signaler un compte piraté
Rendez-vous sur la page Signaler un compte piraté.

 

Indiquez l’identifiant de votre compte puis suivez les instructions. Vous serez notamment amené à taper votre ancien mot de passe et Facebook vous posera quelques questions pour vérifier votre identité.

Dans le pire des cas, vous pourrez faire appel à contacts de confiance pour récupérer votre compte.

 

 

Si votre identité (ou celle d’une autre personne) a été usurpée

Rendez-vous sur la page du profil suspicieux et cliquez sur le bouton contenant 3 petits points, juste en dessous de la photo de couverture. Sélectionnez Signaler.

Signaler

 

Dans la fenêtre qui s’affiche alors, sélectionnez l’option Signaler ce compte et cliquez sur Continuer.
Signaler ce compte

 

Dans l’écran suivant, sélectionnez ensuite l’option Ce journal se fait passer pour quelqu’un que je connais.
Se fait passer pour quelqu'un que je connais

 

Vous êtes amené ensuite à préciser votre cas.
Moi ou personne que je connais

S’il s’agit de votre propre identité, sélectionnez l’option Moi. Vous pouvez alors demander à fermer le compte.

Si l’identité de quelqu’un d’autre a été usurpée, sélectionnez l’option Une personne que je connais ou éventuellement Une célébrité.

Cliquez sur Continuer pour valider et suivez les instructions.

 

 

Aller plus loin et porter plaine
Si vous estimez qu’il y a préjudice, vous pouvez aller porter plainte au Commissariat de police ou à la Gendarmerie de votre lieu d’habitation. N’hésitez pas à faire des captures d’écran pour nourrir votre dossier.

 

 

 


Expert Informatique assermenté et formateur spécialisé en sécurité Informatique, en cybercriminalité et en déclarations à la CNIL, Denis JACOPINI et Le Net Expert sont en mesure de prendre en charge, en tant qu’intervenant de confiance, la sensibilisation ou la formation de vos salariés afin de leur enseigner les bonnes pratiques pour assurer une meilleure protection juridique du chef d’entreprise.

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Source : http://www.aussitot.fr/facebook/signaler-compte-pirate-usurpation-identite-facebook.html

 

 




Les guides des bonnes pratiques de l’Anssi en matière de sécurité informatique | Denis JACOPINI

Les guides des bonnes pratiques de l’Anssi en matière de sécurité informatique

Vous voulez éviter que le parc informatique soit utilisé pour affaiblir votre organisation ? L’un des guides publiés par l’ANSSI vous aidera à vous protéger. 

 

Initialement destinés aux professionnels de la sécurité informatique, les guides et recommandations de l’ANSSI constituent des bases méthodologiques utiles à tous. Vous trouverez sans peine votre chemin en utilisant les mots-clés, qu’un glossaire vous permet d’affiner, ou le menu thématique.

 

 

LISTE DES GUIDES DISPONIBLES

 

 

 


Expert Informatique et formateur spécialisé en sécurité Informatique, en cybercriminalité et en déclarations à la CNIL, Denis JACOPINI et Le Net Expert sont en mesure de prendre en charge, en tant qu’intervenant de confiance, la sensibilisation ou la formation de vos salariés afin de leur enseigner les bonnes pratiques pour assurer une meilleure protection juridique du chef d’entreprise.

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Source : http://www.ssi.gouv.fr/entreprise/bonnes-pratiques/

 

 




Votre responsabilité engagée en cas de piratage de vos données | Denis JACOPINI

L'Homme, Désespoir, Problème, Null, Une

Votre responsabilité engagée en cas de piratage de vos données


Si vous vous faites pirater votre ordinateur ou votre téléphone, votre responsabilité pourrait bien être engagée vis-avis des données que ce support numérique renferme.

 

 

Imaginez que vous disposiez de différents appareils numériques informatiques renfermant une multitude de données, dont des données d’amis, de prospects, de clients, de fournisseurs (tout ce qu’il y a de plus normal), et tout à coup, à cause d’un Malware (Méchangiciel selon D. JACOPINI), un pirate informatique en prend possession de ces données, les utilise ou pire, les diffuse sur la toile. Que risquez-vous ?

 

En tant que particulier victime, pas grand chose, sauf s’il est prouvé que votre négligence est volontaire et l’intention de nuire retenue.

Par contre, en tant que professionnel, en plus d’être victime du piratage (intrusion causée par une faille, un virus, un crypto virus, un bot, un spyware), et d’avoir à assumer les conséquences techniques d’un tel acte illicite pourtant pénalement sanctionné notamment au travers de la loi godfrain du 5 janvier 1988 (première loi française réprimant les actes de criminalité informatique et de piratage), vous risquez bien de vous prendre une seconde claque vis à vis de la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978.

 

En effet, Les entreprises, les sociétés, tous ceux exerçant une activité professionnelle réglementée ou non, les associations, les institutions,  administrations et les collectivités, sont tenues de respecter la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978 et notamment la sécurité des données selon les termes de son Article n°34 :

 

Le responsable du traitement est tenu de prendre toutes précautions utiles, au regard de la nature des données et des risques présentés par le traitement, pour préserver la sécurité des données et, notamment, empêcher qu’elles soient déformées, endommagées, ou que des tiers non autorisés y aient accès.

 

De plus, les sanctions jusqu’alors limitées à 5 ans d’emprisonnement et 300 000 euros d’amendes vont à partir du 25 mai 2018, par la mise en application du RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données) être portées à 20 millions d’euros et 4% du chiffre d’affaire mondial.

 

 

Partons d’un cas concret.

La société Cochamboptnalds voit son système informatique piraté. Des investigations sont menées et le pirate informatique arrêté.

Vis à vis de la loi Godfrain du 5 janvier 1988, le voyou risque jusqu’à 2 ans de prison et 20 000 euros d’amende. Or ce dernier, après avoir découvert que la société Cochamboptnalds n’était pas en règle avec la CNIL la dénonce auprès de cette dernière.

Le responsable de traitement, généralement le chef d’entreprise risquera, lui, 5 ans de prison et 300 000 euros d’amende, une peine bien supérieure à son voleur.

Est-ce bien normal ?

Non, mais pourtant c’est comme ça et ça peut être le cas de toutes les entreprises, administrations et administrations françaises en cas de piratage de leurs ordinateurs, téléphones, boites e-mail…

 

 

Autre cas concret

Monsieur Roudoudou-Maxitout voit son téléphone portable mal protégé et exposé aux virus et aux pirates. Un jour il apprend par un ami que les contacts de son téléphone se sont fait pirater. Il se déplace à la Police ou à la Gendarmerie, dépose une plainte mais le voleur n’est jamais retrouvé. Qui est responsable de cette fuite d’informations ?

La première chose à savoir, c’est si ce téléphone est professionnel ou personnel. S’il est professionnel, référez vous au cas contrés précédent. Si par contre le téléphone portable est personnel, vis à vis de la loi Informatique et Libertés, les particuliers ne sont pour l’instant pas concernés par l’obligation de sécurisation des données.

Ainsi, si la faute volontaire du propriétaire de l’appareil n’est pas retenue, le  seul responsable de cette fuite de données sera et restera l’auteur du piratage.

 

 


Denis JACOPINI est Expert Informatique et aussi formateur en Protection des données personnelles (Autorisation de la Direction du travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle n°93 84 03041 84).

Nous pouvons vous animer des actions de sensibilisation ou de formation à la Protection des Données Personnelles, au risque informatique, à l’hygiène informatique et à la mise en conformité auprès de la CNIL. Nos actions peuvent aussi être personnalisées et organisées dans votre établissement.

Plus d’informations sur : https://www.lenetexpert.fr/formations-en-cybercriminalite-et-en-protection-des-donnees-personnelles

Denis JACOPINI

 

 




 

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Original de l’article mis en page : Informatique et Libertés : suis-je concerné ? | CNIL




Wi-Fi. Attention au piratage sur les vrais et faux réseaux gratuits | Denis JACOPINI

Wi-Fi. Attention au piratage sur les vrais et faux réseaux gratuits


Ce sont les vacances mais nombre de touristes ne se séparent pas de leurs smartphones, tablettes ou ordinateurs portables. Et pour se connecter à l’internet, quoi de mieux qu’attraper un wi-fi gratuit. Une pratique qui peut se révéler très dangereuse. Des proies faciles pour les « sniffeurs » de données. Explications de Laurent Heslault, expert sécurité chez Symantec.

 

 

Vous êtes sur votre lieu de vacances et vous avez envie de vous connecter à l’internet. Pour consulter votre messagerie ou vos réseaux sociaux, envoyer des photos à vos proches, surfer sur le net ou consulter votre compte en banque ou faire une réservation.

Solution la plus simple : se connecter à un réseau Wi-Fi gratuit. Dans votre hôtel, camping, à la terrasse d’un café ou d’un restaurant… Les accès gratuits pullulent et se généralisent.

Expert en sécurité à Symantec, Laurent Heslault tire le signal d’alarme. « Rien de plus simple que de pirater les données qui transitent sur un réseau Wi-Fi gratuit » assure-t-il. « Par exemple, je m’installe à la terrasse d’un café et je crée un vrai faux point d’accès gratuit en empruntant le nom du café. Des gens vont s’y connecter et je n’ai plus qu’à récupérer toutes les données qui m’intéressent. Des mots de passe, des identifiants… »

Des sniffeurs de données

Il exagère ? Non. « L’expérience a été faite à la terrasse d’un café. Nous avons installé un logiciel qui permet de sniffer tous les appareils qui se branchaient sur le Wi-Fi. Ensuite, des complices, qui se faisaient passer pour des magiciens, allaient voir les gens en disant que par magie, ils avaient réussi à changer le code de leur téléphone ou leur image sur Facebook. Ils étaient étonnés ! » Rien de magique mais des logiciels de piratage qui se trouvent facilement sur le net.

Les données sur le Wi-Fi ne sont pas chiffrées

« Les données qui transitent sur le Wi-Fi ne sont pas chiffrées. Sauf quand vous vous connectés à un site sécurisé avec le protocole HTTPS. Donc ce sont des données faciles à intercepter. » Danger sur les vrais faux points d’accès Wi-Fi mais aussi sur les vrais qui ne sont, dans la grande majorité des cas, pas chiffrés non plus. « Par contre pas de problème pour une connexion 3G ou 4G qui sont chiffrées. Mais pour économiser leur forfait, les gens préfèrent se connecter au Wi-Fi ».

Conseils

Alors quels conseils ? « Ne jamais, sur un Wi-Fi public, entrer un mot de passe. D’autant que la plupart des internautes utilisent le même mot de passe pour tous leurs sites. » En clair, limiter les dégâts en ne consultant que des sites qui ne demandent aucune identification.

Autre solution : protéger son smartphone ou sa tablette en y installent un logiciel qui va chiffrer toutes les données qui vont en sortir. Plusieurs types de logiciels existent dont le Wi-Fi Privacy de Norton qui est gratuit pendant 7 jours et peut s’installer sur des périphériques fonctionnant sous Ios et Androïd.

Article original de Samuel NOHRA.

 

Nous prodiguons une multitude d’autres conseils durant les formations que nous animons à destination des élus, chef d’entreprises, agents publics et salariés. [Consultez la liste de nos formations]


 

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Original de l’article mis en page : Wi-Fi. Attention au piratage sur les vrais et faux réseaux gratuits




5 règles d’or pour les utilisateurs des réseaux sociaux | Denis JACOPINI

5 règles d’or pour les utilisateurs des réseaux sociaux 


Le nombre total d’individus dans le monde est de 7,4 milliards. Fin 2015, Facebook a atteint les 1,59 millions d’utilisateurs. Avec une augmentation annuelle de 17%, le géant des réseaux sociaux est tout simplement trop important pour être ignoré. Ceci étant dit, c’est aussi vrai pour beaucoup d’autres réseaux sociaux.

 

 

Les 310 millions d’utilisateurs actifs par mois sur Twitter postent 347 222 fois en moyenne. Plusieurs d’entre eux tweetent plus d’une centaine de fois par jour, et nombreux sont ceux à tweeter une fois par jour. Plus de 40 millions de photos ont été partagées sur Instagram depuis son lancement, et plus de 80 millions de photos y sont publiées chaque jour.

Ceci représente une énorme quantité de données : certaines importantes, d’autres intéressantes ou encore inutiles. Les réseaux sociaux, avec leurs propres tendances et leurs propres lois, fonctionnent comme une extension du monde réel, qui a un énorme impact sur nos vies hors-ligne. Dans cet article, nous vous dévoilons quelques règles simples que chaque utilisateur de réseaux sociaux devrait garder en tête.

1. N’alimentez pas les trolls

Les trolls sur Internet sont des provocateurs qui se joignent à des conversations dans le but d’agacer les autres utilisateurs pour le « fun ». On peut trouver des trolls n’importe où : sur les forums, les chats, et autres plateformes de communication en ligne. Les forums des nouveaux médias sont connus pour la participation élevée de trolls. D’ailleurs, il y en a plein sur les réseaux sociaux.

Comment devez-vous parler aux trolls ? D’aucune façon ! Ignorez-les. Plusieurs personnes se font prendre au piège et engagent alors des débats houleux en essayant d’expliquer leur point de vue et passent une grande partie de leur temps et de leur énergie en vain. Quelqu’un a toujours tort sur Internet. Ne perdez pas votre temps et votre énergie pour des trolls.

2. Ne postez pas ou ne partagez pas de contenu illégal

Les Emirats Arabes Unis et la Nouvelle Zélande disposent de lois qui punissent sévèrement les trolls et la cyberintimidation avec des sanctions allant de 35 000$ à la prison.

Toutefois, vous pouvez écoper d’une amende ou même être confronté à des conséquences bien plus graves pour avoir posté, partagé du contenu ou toutes autres actions relatives dans bon nombre de pays. Par exemple, deux hommes ont été condamnés à quatre ans de prison après avoir créé une page Facebook qui encourageait une révolte. Un homme au Bengladesh a été envoyé en prison pour avoir plaisanté sur son souhait de voir le premier ministre mort. Par conséquent, mieux vaut être au courant des lois de chaque pays et de s’en souvenir au moment de publier ou partager sur Facebook ou Twitter.

3. Ne partagez pas des arnaques

Les fraudeurs piègent souvent les victimes avec des histoires choquantes telles que des bébés mourants, des chiots qui se noient, ou d’anciens combattants. De tels articles font le tour des réseaux sociaux en criant à l’aide. En réalité, ils sont déployés dans le but de voler de l’argent, de diffuser des malwares et des méthodes d’hameçonnage.

De tels articles génèrent beaucoup de partages, mais la majorité d’entre eux sont des arnaques. De vrais appels au secours proviennent en général de votre famille, amis, et amis de vos amis. Ayez toujours en tête que ce sont les pages officielles des entreprises qui mettent en place ce type d’aide et non pas des individus inconnus.

C’est la raison pour laquelle il vaut mieux rester vigilant et vérifier chaque article avant de cliquer sur « aimer » ou « partager ». Pas envie de tous les contrôler un par un ? Ne prenez donc pas de risques pour vous et vos amis.

4. Pensez aux réactions des lecteurs

Vous avez probablement des collègues, des supérieurs et des clients parmi vos connections Facebook ou Instagram. Lorsque vous postulez pour un emploi, il est très probable par exemple que les ressources humaines jettent un coup d’œil à votre profil sur les réseaux sociaux. Prenez en compte ce que vous voulez leur montrer, et plus important encore, ce que vous ne voulez pas.

Vous devez aussi réfléchir prudemment à ce que vous publiez sur les pages d’autres utilisateurs et sur des comptes publics tels que des entreprises ou des universités. Par exemple, en 2013, un homme originaire de Pennsylvanie a été renvoyé pour avoir « complimenté » une étudiante en ligne. Son commentaire n’avait rien de sexuel ou d’inapproprié, mais de toute évidence la mère de la jeune fille n’avait pas apprécié. Un an auparavant, une professeure de Moses Lake, Washington, avait été virée parce qu’une femme qu’elle n’avait jamais rencontrée s’était plainte d’un de ces articles. Il s’agit de quelques exemples parmi tant d’autres qui prouvent qu’il vaut mieux garder ses photos personnelles et ses articles pour des amis sûrs.

Si vous avez besoin d’aide pour dissimuler vos articles privés des regards indiscrets, vous pouvez retrouver nos articles sur les paramètres de confidentialité de Facebook, Twitter, Instagram,LinkedIn, et Tumblr.

5. Ne dévoilez pas vos données publiques

De nombreux réseaux sociaux proposent d’ « enregister » la géolocalisation lorsque vous prenez une photo, postez du contenu ou montrez les lieux que vous avez visités. Si vous êtes intéressé par un évènement, le réseau social peut en informer vos amis au cas où ils voudraient vous accompagner.

Par défaut, tout le monde peut accéder à vos données, et les cybercriminels ont mille et une méthodes de s’en servir, ça peut aller de s’introduire dans votre maison jusqu’à voler votre identité numérique. C’est la raison pour laquelle nous vous recommandons vivement de dissimuler ce type des données à des personnes inconnues, à l’aide des paramètres de confidentialité de Facebook.

C’est aussi une bonne occasion pour que vous n’ajoutiez pas n’importe qui aveuglément : les gens envoient des demandes d’amis qui peuvent s’avérer être des bots, des trolls ou même des hackers. Même si Facebook vous informe que vous avez des dizaines d’amis en commun, n’acceptez pas de demandes si vous n’êtes pas certain que ce soit des connaissances sûres.

Article original de John Snow


 

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Original de l’article mis en page : 5 règles d’or pour les utilisateurs des réseaux sociaux | Nous utilisons les mots pour sauver le monde | Le blog officiel de Kaspersky Lab en français.




Attaques informatiques : Comment s’en protéger ?

Attaques informatiques : Comment s’en protéger  ?


Les cyberattaques se faisant de plus en plus nombreuses et sévères, les entreprises doivent apprendre à s’en protéger. Pour cela, les directions juridiques et de l’informatique peuvent s’appuyer sur l’expertise de la police judiciaire et des experts en data protection.

 

Tous les quinze jours en moyenne, une attaque sévère – où des données sont exfiltrées – est découverte. Face à ce constat, le tribunal de commerce de Paris a réuni quatre tables rondes d’experts de la sécurité informatique, des représentants de la police judiciaire et des experts-comptables fin juin pour examiner les solutions de protection dont disposent les entreprises. Julien Robert, directeur de la sécurité chez SFR, résume les trois facteurs agissant sur la sécurité : les utilisateurs, car ce sont eux qui choisissent les données qu’ils utilisent et partagent, les fournisseurs d’accès et l’encadrement d’un data center externe fortement conseillé.

 

Prévention
« Il est difficile d’agir lorsque l’attaque a déjà eu lieu », précise Sylvie Sanchis, chef de la Befti (1) de la police judiciaire de Paris. Le moyen le plus efficace dont disposent les entreprises pour se protéger est donc la prévention. Il faut avant tout investir dans la sécurité informatique. Si certaines sociétés sont réticentes en raison du coût, il est important de rappeler qu’il sera toujours moindre que celui engendré par une attaque.
Tous les salariés doivent par ailleurs être formés car certaines intrusions sont rendues possibles par leur comportement, sans qu’ils en soient conscients, notamment par leur exposition sur Internet.

 

Les modes opératoires
Les modes opératoires d’exfiltration des données se diversifient et se sophistiquent au fil des années. Certains se veulent discrets afin que l’entreprise ne prenne connaissance de l’attaque que très tardivement, d’autres relèvent du chantage ou de la demande de rançon.
L’attaque peut venir d’un mail qui, à son ouverture, téléchargera un virus sur l’ordinateur de l’employé. Les données peuvent également être extraites grâce au social engineering, pratique qui exploite les failles humaines et sociales de la cible, utilisant notamment la crédulité de cette dernière pour parvenir à ses fins (arnaque au patron). Quant aux ransomwares, il s’agit de logiciels malveillants permettant de rançonner l’entreprise pour qu’elle récupère ses données. Dans ce cas, Anne Souvira, chargée de mission aux questions liées à la cybercriminalité au cabinet du préfet de police de Paris, précise que «même si l’entreprise paye, il est très rare de récupérer toutes les données. » Si elle peut être tentée de payer la rançon sans prévenir les autorités compétentes pour une somme modique, il n’y a aucune garantie de récupérer les données et les traces de l’attaque seront perdues. D’autres techniques de chantage sont utilisées, comme lorsque l’on se voit menacer d’une divulgation des vulnérabilités du système.

 

L’importance de porter plainte
La réaction à adopter, la plus rapide possible, fait partie de la sécurité informatique : « C’est un travail de réflexion en amont qui permettra d’adopter la bonne stratégie », selon Ciryl Piat, lieutenant-colonel de la gendarmerie nationale. Suite à une cyber-attaque, la plupart des entreprises sont réticentes à porter plainte, par peur d’une mauvaise réputation ou par scepticisme vis-à-vis de la réelle utilité de cette procédure. Alice Cherif, chef de la section « cybercriminalité » du parquet de Paris, précise que la plainte présente l’avantage d’identifier les éléments d’investigation qui permettront de remonter au cybercriminel. «Toute autre alternative est bien moins efficace et fait perdre un temps précieux à l’entreprise ainsi que des éléments d’investigation. »

 

L’utilité du cloud
L’une des façons de sécuriser ses données est de les confier à un tiers spécialiste qui les stockera en ligne sur un cloud. « Il s’agit d’un système complexe connecté sur Internet, où les données sont stockées sur des disques durs physiques situés dans des salles d’hébergement, les fameux data centers », explique Julien Levrard, chef de projet sécurité chez OVH. Le cloud rend l’accès plus difficile aux malfaiteurs d’autant qu’ils ignorent la localisation de la donnée. Vigilance et prévention : les maîtres mots en matière de cybercriminalité.

Article original de Emilie Smelten

(1) Brigade d’enquête sur les fraudes aux technologies de de l’information

 



 

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Original de l’article mis en page : Cybercriminalité : comment se protéger ? – Magazine Decideurs




Bonnes pratiques face à une tentative de cyber-extorsion | Denis JACOPINI

Ordinateur, Virus, Piratage Informatique

Bonnes pratiques face à une tentative de cyber-extorsion


Bonnes pratiques face à une tentative de cyber-extorsion

 

1. Typologie des différents cas de cyber-extorsion

Le type le plus répandu de cyber-extorsion est l’attaque par crypto-ransomware. Ce dernier est une forme de malware qui chiffre les fichiers présents sur la machine infectée. Une rançon est par la suite demandée afin d’obtenir la clef qui permet de déchiffrer les données compromises. Ces attaques touchent autant les particuliers que les acteurs du monde professionnel. Il existe cependant deux autres types de cyber-extorsion auxquels doivent faire face les sociétés.

Le premier cas est celui du chantage faisant suite à un vol de données internes. L’exemple le plus marquant de ces derniers mois est celui du groupe Rex Mundi : ce dernier dérobe des informations sensibles/confidentielles – comme une base clientèle – puis demande une rançon à sa victime sous peine de divulguer son butin et par conséquent de rendre public l’acte de piratage; ce qui peut être fortement compromettant pour la société ciblée comme pour sa clientèle. De nombreuses entreprises comme Dexia, Xperthis, Voo ou encore Labio ont été victimes des chantages du groupe Rex Mundi.

 

La deuxième pratique est celle du DDoS contre rançon, spécialité des pirates d’Armada Collective. Le modus operandi est simple et efficace : la cible reçoit un email l’invitant à payer une rançon en Bitcoin afin de ne pas se voir infliger une puissante attaque DDoS qui rendrait son site web indisponible à ses utilisateurs. La plupart des victimes sont des sociétés de taille intermédiaire dont le modèle économique est basé sur le principe de la vente en ligne – produits ou services – comme le fournisseur suisse de services de messagerie ProtonMail en novembre 2015.

 

 

2. Bonnes pratiques à mettre en place

En amont de la tentative de cyber-extorsion

Un ensemble de bonnes pratiques permet d’éviter qu’une attaque par ransomware se finalise par une demande de rançon.

Il convient de mettre en place une stratégie de sauvegarde – et de restauration – régulière des données. Ces back-ups doivent être séparés du réseau traditionnel des utilisateurs afin d’éviter d’être chiffrés en cas de déploiement d’un crypto-ransomware. Dans ce cas de figure, le système pourra être restauré sans avoir besoin de payer la rançon exigée.

La propagation d’un malware peut également être évitée par l’installation d’outils/solutions de cybersécurité notamment au niveau du client, du webmail et du système d’exploitation (antivirus). Ceci doit obligatoirement être couplé à une mise à jour régulière du système d’exploitation et de l’ensemble des logiciels installés sur le parc informatique.

L’être humain étant toujours le principal maillon faible de la chaîne, il est primordial de sensibiliser les collaborateurs afin qu’ils adoptent des comportements non-risqués. Par exemple : ne pas cliquer sur les liens et ne pas ouvrir les pièces-jointes provenant d’expéditeurs inconnus, ne jamais renseigner ses coordonnées personnelles ou bancaires à des opérateurs d’apparence légitimes (banques, fournisseurs d’accès Internet, services des impôts, etc.).

Ces bonnes pratiques s’appliquent également dans le cas d’un chantage faisant suite à un vol de données internes. Ces dernières sont en général dérobées via l’envoi dans un premier temps d’un spam contenant une pièce jointe malicieuse ou une URL redirigeant vers un site web compromis. Une fois le système d’information compromis, un malware est déployé afin de voler les informations ciblées.

La menace provient également de l’intérieur : un employé mal intentionné peut aussi mettre en place une tentative de cyber-extorsion en menaçant de divulguer des informations sensibles/confidentielles. Ainsi, il est important de gérer les accès par une hiérarchisation des droits et un cloisonnement.

 

 

Pendant la tentative de cyber-extorsion

Lors d’un chantage faisant suite à un vol de données internes, il est important de se renseigner sur la véracité des informations qui ont été dérobées. Certains groupes de pirates se spécialisent dans des tentatives de cyber-extorsion basées sur de fausses informations et abusent de la crédulité de leurs victimes. Il en va de même concernant l’origine du corbeau : de nombreux usurpateurs imitent le style du groupe Armada Collective et envoient massivement des emails de chantage à des TPE/PME. Ces dernières cèdent fréquemment à ces attaques qui ne sont pourtant que des canulars.

Il est vivement recommandé de ne jamais payer une rançon car le paiement ne constitue pas une garantie. De nombreuses victimes sont amenées à payer une somme bien plus conséquente que la rançon initialement demandée. Il n’est pas rare de constater que les échanges débutent de manière très cordiale afin de mettre la cible en confiance. Si cette dernière cède au premier chantage, l’attaquant n’hésite pas à profiter de sa faiblesse afin de lui soutirer le plus d’argent possible. Il abuse de techniques basées sur l’ingénierie sociale afin d’augmenter ses profits. Ainsi, l’escroc gentil n’existe pas et le paiement de la rançon ne fait que l’encourager dans sa démarche frauduleuse.

De nombreuses victimes refusent de porter plainte et cela pour plusieurs raisons. Elles estiment à tort que c’est une perte de temps et refusent également de communiquer sur les résultats et conséquences d’une attaque qui ne feraient que nuire à leur image auprès des clients, fournisseurs ou partenaires. Pourtant cette mauvaise stratégie ne fait que renforcer le sentiment d’impunité des attaquants, les confortent dans le choix de leurs modes opératoires et leur permet de continuer leurs actions malveillantes. Il est ainsi vital de porter plainte lors de chaque tentative de cyber-extorsion. L’aide de personnes qualifiées permet de faciliter ce genre de démarches.

En cas d’attaque avérée, il est essentiel pour la victime de s’appuyer sur un panel de professionnels habitués à gérer ce type de situation. La mise en place d’une politique de sauvegarde ou bien la restauration d’un parc informatique n’est pas à la portée de toutes les TPE/PME. Il est nécessaire de faire appel à des prestataires spécialisés dans la réalisation de ces opérations complexes.

Par ailleurs, en cas de publication de la part de l’attaquant de données sensibles/confidentielles, il convient de mettre en place un plan de gestion de crise. La communication est un élément central dans ce cas de figure et nécessite l’aide de spécialistes.

Article original de Adrien Petit


 

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Original de l’article mis en page : Bonnes pratiques face à une tentative de cyber-extorsion [Par Adrien Petit, CEIS] | Observatoire FIC




Comment détecter e-mail malveillant

Notre métier en RGPD et en CYBER : Auditer, Expertiser, Accompagner, Former et Informer
EXPERTISES VOTES ELECTRONIQUES : Expertise de systèmes de vote électronique et d'élections par Internet MISE EN CONFORMITÉ RGPD & CYBER : Accompagnement de votre établissement à la démarche de mise en conformité avec le RGPD et en CYBERSÉCURITÉ Expertise de systèmes de vote électronique - votes par Internet FORMATIONS & SEMINAIRES RGPD & CYBER ARNAQUES & PIRATAGES : Restez informé sur les techniques utilisées par les pirates informatiques

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Comment détecter e-mail malveillant


Via votre messagerie ou votre boîte mail, certaines personnes malintentionnées tentent de mettre la main sur vos données personnelles en utilisant des techniques d’hameçonnage (phishing) ou d’escroquerie de type fraude 419 (scam) ! Ces techniques d’attaque évoluent constamment. Les conseils suivants vous aideront à déterminer si un message est légitime ou non.

Comment repérer une arnaque reçue dans votre messagerie ou votre boîte mail ?

 

  • Est-ce que le message/courriel vous est réellement destiné ?
  1. Généralement, les messages malveillants sont envoyés à destination d’un grand nombre de cibles, ils ne sont pas ou peu personnalisés.
  2. Le message évoque un dossier, une facture, un thème qui ne vous parle pas ? Il s’agit certainement d’un courriel malveillant.
  • Attention aux expéditeurs inconnus : soyez particulièrement vigilants sur les courriels provenant d’une adresse électronique que vous ne connaissez pas ou qui ne fait pas partie de votre liste de contact.
  • Soyez attentif au niveau de langage du courriel : même si cela s’avère de moins en moins vrai, certains courriels malveillants ne sont pas correctement écrits. Si le message comporte des erreurs de frappe, des fautes d’orthographe ou des expressions inappropriées, c’est qu’il n’est pas l’œuvre d’un organisme crédible (banque, administration …).
  • Vérifiez les liens dans le courriel : avant de cliquer sur les éventuels liens, laissez votre souris dessus*. Apparaît alors le lien complet. Assurez-vous que ce lien est cohérent et pointe vers un site légitime. Ne faites pas confiance aux noms de domaine du type impots.gouvv.fr, impots.gouvfr.biz, infocaf.org au lieu de www.caf.fr.* A noter : cette manipulation est impossible à effectuer depuis un écran de smartphone.
  • Méfiez vous des demandes étranges : posez-vous la question de la légitimité des demandes éventuelles exprimées. Aucun organisme n’a le droit de vous demander votre code carte bleue, vos codes d’accès et mots de passe. Ne transmettez rien de confidentiel même sur demande d’une personne qui annonce faire partie de votre entourage.
  • L’adresse de messagerie source n’est pas un critère fiable : une adresse de messagerie provenant d’un ami, de votre entreprise, d’un collaborateur peut facilement être usurpée. Seule une investigation poussée permet de confirmer ou non la source d’un courrier électronique. Si ce message semble provenir d’un ami – par exemple pour récupérer l’accès à son compte – contactez-le sur un autre canal pour vous assurer qu’il s’agit bien de lui !

Comment réagir ?

Si vous avez un doute sur un message reçu, il y a de fortes chances que celui-ci ne soit pas légitime :

  • N’ouvrez surtout pas les pièces jointes et ne répondez-pas;
  • Si l’escroquerie que vous souhaitez signaler vous est parvenue par un spam (pourriel), rendez-vous sur www.signal-spam.fr;
  • Supprimez le message puis videz la corbeille;
  • S’il s’agit de votre compte de messagerie professionnel : transférez-le au service informatique et au responsable de la sécurité des systèmes d’information de votre entreprise pour vérification. Attendez leur réponse avant de supprimer le courrier électronique.

Comment s’en prémunir ?

  • Utilisez un logiciel de filtre anti-pourriel ou activer l’option d’avertissement contre le filoutage présent sur la plupart des navigateurs.
  • Installez un anti-virus et mettez-le à jour.
  • Désactivez le volet de prévisualisation des messages.
  • Lisez vos messages en mode de texte brut.

Si vous êtes victime d’une escroquerie en ligne ?

Signalez les escroqueries auprès du site www.internet-signalement.gouv.fr, la plateforme d’harmonisation, d’analyse de recoupement et d’orientation des signalements. Pour s’informer sur les escroqueries ou pour signaler un site internet ou un courriel d’escroqueries, un vol de coordonnées bancaires ou une tentative d’hameçonnage : contacter Info Escroqueries au 0811 02 02 17 (prix d’un appel local depuis un poste fixe ; ajouter 0.06 €/minute depuis un téléphone mobile) – Du lundi au vendredi de 9h à 18h

 

Rendez-vous sur cybermalveillance.gouv.fr , la plateforme nationale d’assistance aux victimes d’actes de cybermalveillance. Que vous soyez un particulier, une entreprise ou une administration, retrouvez :

  • des conseils / vidéos pour sensibiliser votre entourage professionnel ou personnel,
  • des services de proximité en cas de dommages causés par une attaque informatique.

[lire la suite]


CYBERARNAQUES - S'informer pour mieux se protéger (Le Livre)
Denis JACOPINI Marie Nocenti (Plon) ISBN : 2259264220

Livre CyberArnaques - Denis JACOPINI Marie Nocenti (Plon) ISBN : 2259264220

Denis Jacopini, expert judiciaire en informatique diplômé et spécialisé en cybercriminalité, raconte, décrypte et donne des parades contre toutes les cyberarnaques dont chacun peut être victime.

Il est témoin depuis plus de 20 ans d'attaques de sites Internet, de piratages d'ordinateurs, de dépouillements de comptes bancaires et d'autres arnaques toujours plus sournoisement élaborées.

Parce qu'il s'est rendu compte qu'à sa modeste échelle il ne pourrait sensibiliser tout le monde au travers des formations et des conférences qu'il anime en France et à l'étranger, il a imaginé cet ouvrage afin d'alerter tous ceux qui se posent la question : Et si ça m'arrivait un jour ?

Plutôt que de présenter une longue liste d'arnaques Internet recensées depuis plusieurs années, Denis Jacopini, avec la collaboration de Marie Nocenti, auteur du roman Le sourire d'un ange, a souhaité vous faire partager la vie de victimes d'arnaques Internet en se basant sur des faits réels, présentés sous forme de nouvelles suivies de recommandations pour s'en prémunir. Et si un jour vous rencontrez des circonstances similaires, vous aurez le réflexe de vous méfier sans risquer de vivre la fin tragique de ces histoires et d'en subir les conséquences parfois dramatiques.

Pour éviter de faire entrer le loup dans votre bergerie, il est essentiel de le connaître pour le reconnaître !

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06/04/2018 A l'occasion de la sortie de son livre "CYBERARNAQUES : S'informer pour mieux se protéger",Denis JACOPINI répond aux questions de Valérie BENHAÏM et ses 4 invités : 7 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2010 (Symantec) 13,8 Milions de victimes de la Cybercirminalité en 2016 (Symantec) 19,3 Millions de victimes de la Cybercriminalité en 2017 (Symantec) Plus ça va moins ça va ? Peut-on acheter sur Internet sans risque ? Si le site Internet est à l'étranger, il ne faut pas y aller ? Comment éviter de se faire arnaquer ? Comment on fait pour renifler une arnaque sur Internet ? Comment avoir un coup d'avance sur les pirates informatiques ? Quelle est l'arnaque qui revient le plus souvent ? Denis JACOPINI vous répond sur C8 avec Valérie BENHAÏM et ses invités.

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https://youtu.be/usg12zkRD9I?list=UUoHqj_HKcbzRuvIPdu3FktA

12/04/2018 Denis JACOPINI est invité sur Europe 1 à l'occasion de la sortie du livre "CYBERARNAQUES S'informer pour mieux se protéger"
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Je me présente : Denis JACOPINI. Je suis l'auteur de ce livre coécrit avec Marie Nocenti, romancière.
Pour ma part, je suis Expert de justice en informatique spécialisé en cybercriminalité depuis 1996 et en protection des Données à Caractère Personnel.
J'anime des formations et des conférences sur le RGPD et la Cybercriminalité pour aider les organismes à se protéger des pirates informatiques et à se mettre en conformité avec la réglementation autour du numérique (dont le RGPD : Règlement Général sur la Protection des Données).

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Source : Phishing : détecter un message malveillant | CNIL